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(Communiqué) La Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) s’alarme des mesures annoncées par le Gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances pour 2025. Les choix opérés auraient un effet récessif sur l’économie française et, contrairement aux ambitions affichées, permettraient seulement de stabiliser le déficit public.

Le Gouvernement privilégie des hausses de prélèvements, alors que la France est déjà à un niveau record par rapport aux pays de l’OCDE, et des coupes drastiques en matière d’investissement local qui représente plus de 70 % de l’investissement public civil. Ces choix porteraient gravement préjudice à la croissance, contribueraient à accroître les déséquilibres territoriaux et sacrifieraient la transition écologique.

Effondrement du fonds vert, baisse de deux points du taux du fonds de compensation pour la TVA, amputation du budget de l’Agence de financement des infrastructures de transport, création d’un fonds d’épargne imposé, cette politique de « stop and go » serait en contradiction totale avec les impératifs catégoriques de la transition écologique et du soutien à nos territoires.

La FNTP regrette ces options d’ajustement budgétaire par des « coups de rabot », au lieu de s’attaquer à la réduction des déficits publics par des réformes de structure portant sur les dépenses sociales – représentant plus de la moitié des dépenses publiques – et les dépenses courantes de l’Etat. Les pays qui ont réussi à réduire leurs déficits publics, sans porter atteinte à la croissance, ont préservé leur investissement.

Face au « mur d’investissements » de la transition écologique et aux besoins vitaux de nos territoires, la FNTP en appelle à la responsabilité du Parlement pour opérer des arbitrages budgétaires en cohérence avec le souci de la préparation de l’avenir et du redressement national.

Pour Alain GRIZAUD, Président de la FNTP : « La réduction du déficit public est une impérieuse nécessité mais elle doit se faire en préservant l’investissement local afin de réussir la transition écologique, prendre soin des territoires et ne pas trop peser sur la croissance ».

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Haulotte (leader mondial des matériels d'élévation de charges et de personnes) et l’équipe hydrogène d’Equans France testent une nacelle ciseau tout-terrain HS18 E de la gamme PULSEO, alimentée à l'hydrogène vert en conditions réelles.
 
En mai 2022, Haulotte et l’équipe hydrogène d’Equans France (comprenant les collaborateurs anciennement rattachés à Bouygues Energies & Services) ont conclu un accord pour tester en condition réelle une nacelle ciseau tout-terrain*, HS18 E, de la Gamme PULSEO*.
 
Cette nacelle est équipée d’un Range Extender amovible** fonctionnant grâce à une pile à hydrogène, qui permet de recharger les batteries. Si des engins électriques sont déjà disponibles, l’hydrogène a l’avantage de permettre la décarbonation de chantiers isolés et dépourvus d’infrastructures électriques ainsi que d’augmenter l’autonomie et de permettre des recharges rapides. Cette expérimentation sur chantier est une première en France et a nécessité l’homologation de tous les équipements et de la station de recharge.

Cette expérimentation en condition réelle s’effectue via l’appui de Bouygues Construction Matériel sur un chantier piloté par Bouygues Bâtiment Habitat Social et équipé d’une station de recharge à hydrogène. Ce partenariat entre Haulotte et Equans ouvre la voie à une transition énergétique accélérée sur les chantiers, permettant d’augmenter l’autonomie et la productivité des équipements. Ce système de recharge rapide permet également d’éviter les longues périodes de charge et de palier aux risques de vols nocturnes de matériel. Outre le bénéfice environnemental, l’utilisation de l’hydrogène apporte aussi plus de confort pour les opérateurs et les personnes à proximité du chantier puisque les émissions polluantes et sonores sont fortement réduites, la pile à combustible ne rejetant que de la vapeur d’eau.
 
Pour relever ce défi, Haulotte et Equans se sont appuyés sur deux sociétés françaises pour concevoir et déployer les solutions. Roth H2 fournit une station de recharge qui répond aux contraintes de place et de robustesse propres aux chantiers et H2SYS assure l’intégration de la technologie pile à hydrogène et stockage haute pression dans la nacelle fabriquée par Haulotte. C’est donc toute la chaîne de valeur qui est concernée par cette expérimentation, de l’approvisionnement d’hydrogène jusqu’à son usage.

Rendue possible grâce aux certifications obtenues lors du développement du projet, pour la nacelle comme pour la station de recharge, l’expérimentation sur le chantier pilote a pu démarrer en mai 2024 et s’est déroulée sur le second semestre 2024. Son objectif est double : premièrement, de confirmer la viabilité technique et économique de la technologie hydrogène pour ces nouveaux usages et, deuxièmement, de valider les études sur l'écosystème d'approvisionnement en hydrogène sur les sites de construction.

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Un chantier de 1 000 mètres débutera le 14 octobre sur l’avenue Général de Gaulle à Saint-Christol-lez-Alès (30), afin de remplacer une conduite d'eau potable vétuste par une nouvelle canalisation en fonte ductile de 200 mm de diamètre.

Ce chantier, d’une durée de 7 mois, est rendu indispensable par l’état de vétusté de l’ancienne conduite, sujette à de nombreuses fuites. Les travaux consisteront à installer une nouvelle canalisation en fonte ductile de 200 mm de diamètre, dans le but de sécuriser l'alimentation en eau potable des habitants. Ce projet s’inscrit également dans la finalisation de la remise à neuf d’un long tronçon reliant Boisset-et-Gaujac à Alès.

Afin de permettre la réalisation des travaux, une circulation alternée sera mise en place, régulée par des feux tricolores fonctionnant même de nuit. Les conditions de circulation seront assouplies les samedis et dimanches, avec le rétablissement de deux voies de circulation.

En plus du renouvellement de la conduite principale, les branchements particuliers d’eau potable seront également remplacés jusqu’à l’emplacement des compteurs existants. Conformément au règlement de service, les nouveaux compteurs seront installés à la limite du domaine privé/public.

Le chantier présente une complexité particulière en raison de la traversée de deux ouvrages d’art : les ponts routiers de l’Alzon et du Respechas, situés au nord de la commune. Suivant les recommandations des services du Conseil départemental du Gard, le carrefour du lycée sera franchi par un forage dirigé sous le rond-point.

Aucune interruption de l’alimentation en eau potable n’est prévue, à l’exception de la mise en service de la nouvelle conduite, qui entraînera une coupure de très courte durée. Le retour à la normale est prévu pour le printemps 2025.

Le coût total du projet s’élève à 841 000 € HT, avec une participation de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse à hauteur de 170 000 €, et une contribution de 34 000 € du Conseil départemental du Gard. Alès Agglomération financera les 637 000 € restants dans le cadre du plan Alès Aggl’Eau 2030. Ce plan, qui prévoit un investissement annuel de 20 millions d’euros jusqu’en 2030, vise à moderniser l’ensemble du réseau d’eau du territoire, afin de sécuriser l’alimentation en eau et préserver cette ressource naturelle.

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Colas (mandataire), en groupement avec deux de ses filiales, Perrier et Aximum, a été retenu par SYTRAL Mobilités pour réaliser la construction d’une ligne de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) reliant la gare de Lyon Part-Dieu au carrefour des Sept Chemins à Bron, pour un montant de 61,6 millions d’euros dont 52,5 millions pour Colas.

Cette ligne, d'une longueur de 7,7 km, inclut 5,8 km de voies nouvelles et prévoit la création de 16 stations. Elle traversera notamment Lyon 3ème, Villeurbanne, Vaulx-en-Velin et Bron. Les travaux commenceront mi-octobre pour une durée de 31 mois et mobiliseront jusqu’à 250 collaborateurs.

Dans le cadre de ce contrat, Aximum assurera les prestations de balisage de chantier urbain. Les équipes de Colas mettront leurs moyens en commun pour réaliser les prestations de VRD et notamment l’assainissement, les massifs et les réseaux de multitubulaires.

Conformément à ses engagements en matière de respect de l’environnement, le groupement mettra en œuvre des solutions visant à réduire l’empreinte carbone des opérations, notamment par l’utilisation de revêtements perméables clairs à base de liants biosourcés.

Le projet étant implanté au cœur de la métropole lyonnaise, le groupement portera une attention particulière à la réduction des flux de transports et leur optimisation. Les besoins de livraison seront coordonnés et les déplacements fluidifiés, permettant le maintien de la circulation des bus et modes doux pendant toute la durée des travaux et préservant ainsi un cadre de vie satisfaisant pour les riverains, les usagers et les salariés tout en garantissant leur sécurité.

De plus, la mise en place d’un partenariat avec plusieurs entreprises d’insertion (dont la Maison de l’Emploi) permettra à de nombreuses personnes en difficulté (chômeurs de longue durée, personnes en réinsertion…) de se réadapter à un environnement professionnel, pour un total de 27 000 heures de travail réalisées.

"Ce contrat témoigne de la confiance accordée au groupe Colas par SYTRAL mobilités etillustre notre capacité à allier enjeux opérationnels, expertise environnementale et responsabilité sociale", explique Pascal Trouf, Directeur Général Territoire Sud-Est de Colas France.

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Utilisés depuis des décennies pour l’adduction d’eau potable, les tuyaux en fonte ont été largement adoptés pour leur robustesse, malgré certaines limitations de leur composition. Les avancées technologiques ont cependant amélioré leur durabilité.

Les premiers tuyaux étaient fabriqués initialement en fonte grise, un matériau à la fois rigide et fragile, connu pour sa tendance à se fissurer sous l'effet de la pression ou des mouvements du sol. Bien que solide, la fonte grise manquait de souplesse, ce qui la rendait vulnérable aux ruptures, un problème récurrent dans les infrastructures d'eau de l'époque.

L'Avancée Technologique des Tuyaux en Fonte

Au fil des ans, les progrès technologiques ont permis d'améliorer la composition et la durabilité des tuyaux en fonte. L'une des innovations les plus marquantes a été l'ajout de magnésium dans la fonte, transformant ainsi la fonte grise en fonte ductile. Cette nouvelle composition a révolutionné l'industrie des tuyaux en fonte. Grâce au magnésium, les tuyaux sont devenus plus flexibles, capables de résister aux contraintes mécaniques et aux mouvements du sol. Cette flexibilité accrue a non seulement réduit les risques de rupture, mais a également amélioré la durée de vie des tuyaux, offrant des réseaux de distribution d'eau plus fiables.

Protection contre la Corrosion et Longévité Accrue

Outre les améliorations dans la composition des matériaux, les tuyaux modernes en fonte bénéficient de revêtements intérieurs spécialisés, conçus pour protéger contre la corrosion. Ces revêtements assurent une protection supplémentaire contre l'usure naturelle que les tuyaux subissent lorsqu'ils transportent de l'eau potable. Grâce à cette barrière protectrice, les tuyaux sont mieux équipés pour résister aux conditions environnementales, prolongeant ainsi leur durée de vie et réduisant les besoins en maintenance.

Ces avancées technologiques, combinées aux matériaux innovants, ont permis de créer des réseaux de distribution d'eau plus performants et plus durables, capables de supporter les défis posés par les mouvements de terrain ou les conditions climatiques extrêmes.

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Des Marques Innovantes dans l'Industrie

L'industrie des tuyaux en fonte a vu émerger plusieurs leaders qui continuent d'innover pour améliorer leurs produits. Parmi ces entreprises figurent Electrosteel, Pam, et VonRoll, reconnues pour leur expertise et leur capacité à développer des solutions de haute qualité. Ces marques sont à la pointe de l'innovation et investissent continuellement dans la recherche et le développement pour répondre aux exigences croissantes des infrastructures d'eau potable.

L'Évolution Continue

En tant que passionné de canalisation, il est fascinant d'observer comment ces évolutions ont transformé les tuyaux en fonte, les rendant plus efficaces, résistants et adaptés aux réalités modernes. La recherche dans ce domaine ne cesse de progresser, et de nouvelles innovations sont attendues dans les années à venir. Les tuyaux en fonte d'aujourd'hui sont non seulement conçus pour résister aux mouvements de terrain et aux conditions climatiques, mais ils sont également plus respectueux de l'environnement, un critère de plus en plus important dans la conception des infrastructures modernes.

L'évolution des tuyaux en fonte est une véritable success story technologique, illustrant comment les avancées matérielles et scientifiques peuvent répondre aux besoins pratiques des infrastructures publiques, tout en garantissant des solutions plus durables et fiables pour l'avenir.

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L'Université de la Transition Numérique des Territoires UTNT (anciennement Université du Très Haut Débit), organisée par Infranum, idealCO et l'Avicca, se tiendra au Parc des Expositions de Strasbourg les 15 et 16 octobre 2024.

L'événement phare de la filière des infrastructures numériques revient cette année avec un nouveau nom et une ambition renouvelée. Après le succès de l'édition 2023 à Bourges, qui a rassemblé 1 700 participants, cette rencontre annuelle évolue pour accompagner les territoires vers un avenir plus connecté et durable.

Alors que l'objectif « France numérique 2030 » se précise, les enjeux immédiats restent concentrés sur le plan France Très Haut Débit : qualité de service, complétude et pérennité des réseaux. L'arrêt progressif du réseau cuivre impose de relever de nouveaux défis, préparant ainsi une transition vers des modèles numériques innovants, au service des citoyens et des collectivités.

Ne manquez pas cet événement incontournable ! Rejoignez-nous à Strasbourg les 15 et 16 octobre 2024 pour participer aux discussions et échanges qui façonneront le futur numérique des territoires.

Consultez le site Web de Université de la Transition Numérique des Territoires

Découvrez l’Observatoire de la Transition Numérique des Territoires

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RTE (Réseau de Transport d'Électricité) prévoit une importante restructuration du réseau électrique entre les postes de Chaingy, dans le Loiret (45), et de Dambron (28). Ce projet, qui s’inscrit dans une logique d'adaptation aux besoins croissants en énergie et à la transition énergétique, consiste à installer une nouvelle ligne aérienne de 400 000 volts, en remplacement de deux des trois lignes actuelles de 225 000 volts.

Soumis à concertation avec les collectivités locales et les acteurs territoriaux, ce projet a fait l'objet de plusieurs réunions publiques et ateliers participatifs au cours du mois de septembre 2024. La dernière réunion de synthèse a eu lieu le jeudi 3 octobre 2024, où les participants ont pu obtenir des précisions sur les enjeux et contraintes du projet.

Deux options de tracé sont actuellement à l'étude. Le premier scénario propose un fuseau à l’est, longeant le corridor des lignes existantes, tandis que le second envisage un fuseau à l’ouest, plus long mais offrant la possibilité d'éviter certaines zones périurbaines.
Enjeux et thématiques abordés

Au cours de la concertation, de nombreux thèmes ont été soulevés. Parmi eux, la faisabilité d’enfouir la ligne a été rapidement écartée : les contraintes techniques liées à un tel enfouissement pour une ligne de très haute tension sont trop importantes. Le projet, dont le coût est estimé à 60 millions d’euros, comprend également des réflexions autour des pylônes, de leur implantation, et des nuisances potentielles (bruit, champs électromagnétiques). La présence de la base militaire de Bricy a aussi nécessité des ajustements spécifiques pour les deux fuseaux proposés.

Les participants ont également évoqué les indemnisations liées aux servitudes et emprises, ainsi que les règles encadrant les distances de sécurité entre les lignes et les habitations. Une préoccupation majeure reste l’identification du fuseau qui sera finalement choisi, car cela aura un impact direct sur les personnes concernées par le tracé.

Le choix du fuseau définitif, en fonction de son impact environnemental et social, est attendu pour la fin de l’année 2024 ou début 2025. Par la suite, des études techniques détaillées seront menées pour affiner le tracé et obtenir les autorisations nécessaires à l’installation des pylônes.

Les travaux de construction devraient débuter en 2028, avec une mise en service espérée d’ici 2030.

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engcon travaille constamment pour améliorer ses produits en prenant toujours en compte le client final. Une nouvelle étape dans cette démarche d’engcon est le lancement d’une nouvelle attache-rapide, le modèle S70, pour les pelles hydrauliques de 20 et 30 tonnes.

Il y a un an, engcon lançait une nouvelle attache-rapide pour les pelles de 12 à 19 tonnes avec le modèle S60. C’est maintenant au tour du modèle suivant, le S70. Comme le modèle précédent, cette attache-rapide est plus résistante. Cette attache-rapide est non seulement plus robuste, mais elle facilite aussi l’ajout du bloc EC-Oil puisqu’elle est dépourvue de flexible et réduit au maximum le risque de fuite. Comme l’attache S60, la S70 a un débit hydraulique accru, ce qui est avantageux lors de l'utilisation de marteaux hydrauliques ou d'autres outils nécessitant une quantité d'huile plus élevée.

– L’innovation et la satisfaction du client sont des valeurs essentielles chez engcon et la garantie d’une technologie de pointe. Notre package est une solution globale et le produit de qualité que recherchent nos clients, aujourd’hui et demain, indique Martin Engström, chef de produit chez engcon.

La prochaine étape du développement produit en termes d’attache-rapide est le lancement des nouveaux modèles S40 pour les 3 à 6 tonnes et S45 pour les 6 à 11 tonnes et S80 pour les 27 à 40 tonnes. Ces modèles seront lancés au premier semestre 2025.

Avantages de l’attache-rapide améliorée S70 :

• Bloc EC-Oil sans flexible, synonyme de longévité et simplifie l’entretien, la maintenance et l’ajout d’équipements.
• Moins d’impact environnemental et moins d’arrêts de la machine à mesure que le risque de fuite diminue.
• Construction renforcée latéralement et dans la direction d’excavation.
• Stabilité accrue autour des points d’attache à la machine, ce qui contribue à une meilleure sensation de conduite.
• Faisceau de tuyaux amélioré et plus flexible entre la pelle et le porte-outil.

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La Métropole de Lyon a désigné l'entreprise CVE pour la construction et l’exploitation du plus grand parc photovoltaïque au sol de son territoire. Situé sur l’ancien site d’enfouissement technique de Rillieux-la-Pape, ce projet ambitieux s'étendra sur 4 hectares et comprendra 6 968 panneaux solaires. Avec une production annuelle de 5,6 GWh, il pourra fournir en électricité renouvelable environ 1 000 foyers.

D’un coût total de 4,5 millions d’euros, ce projet sera en partie financé par la Métropole de Lyon, qui apportera 220 000 euros et détiendra 30 % de la société de projet. Cette participation permettra à la Métropole de s'assurer que les décisions, notamment concernant la vente de l’électricité et la redistribution des bénéfices, respectent les intérêts du territoire et de ses habitants.

Ce parc solaire s’inscrit dans le cadre du Plan Métropole Solaire, adopté en 2022, qui vise à quadrupler la production d’électricité solaire d’ici 2026, avec un objectif de 245 GWh/an.

En plus de la production d’électricité verte, ce projet intègre un volet participatif : les habitants pourront investir dans le parc et une partie de l’électricité produite sera vendue localement à un prix attractif. Si le projet est plus rentable que prévu, une partie des bénéfices sera réinvestie dans des initiatives locales et dans l’offre de fourniture d’électricité à prix réduit pour les citoyens, entreprises et collectivités locales.

Avec ce projet, la Métropole de Lyon poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et du développement durable, en transformant un ancien site d’enfouissement en un lieu de production d'énergie propre.

Pour en savoir plus sur le projet cliquez-ici

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Le remplacement d'un aqueduc sous les voies SNCF Paris-Normandie à Poissy a marqué une nouvelle étape, illustrant l'expertise des équipes de l'entreprise FORAGES DU NORD OUEST dans les travaux spécifiques de fonçage.

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Ce chantier complexe a nécessité une mobilisation exceptionnelle des équipes de FORAGES DU NORD OUEST, qui ont opéré en pleine nuit, sous interruption des voies SNCF, pour mener à bien cette intervention délicate.

Ce type d’opération sous les voies ferrées exige rigueur et organisation sans faille. Les équipes de l'entreprise ont su mener à bien les différentes étapes en un temps record. En seulement 8 heures, ils ont réalisé l'installation et le fonçage d'un tube en acier de 600 mm de diamètre, ainsi que le repli du chantier.

Ce chantier a une nouvelle fois démontré le savoir-faire et la réactivité de l'entreprise FORAGES DU NORD OUEST basée BOIS-GUILLAUME (76). Les équipes techniques ont fait preuve d’une efficacité remarquable, en respectant à la fois les délais serrés et les exigences de qualité qui les caractérisent. Chaque membre de l’équipe, du terrain à l’encadrement, a joué un rôle crucial dans le succès de cette opération.

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Le 5ᵉ séminaire du Syndicat National des Entrepreneurs de Réseaux s’est tenu dans le cadre prestigieux du château Pommery à Reims. Les professionnels du secteur s'y sont retrouvés pour échanger sur les enjeux actuels et futurs.

L’un des moments forts du séminaire a été le discours de Thierry Lirola, Président sortant, qui a ému l’assemblée. Après plusieurs années à la tête de l’organisation, il a exprimé sa fierté d'avoir œuvré pour le secteur des réseaux et a remercié ses collaborateurs pour leur soutien. Il a souligné les défis relevés durant son mandat, tout en rappelant les valeurs de solidarité et d’innovation qui ont guidé son action. Son départ a marqué la fin d'une ère, tout en laissant entrevoir de belles perspectives pour l’avenir du syndicat.

La sécurité a également été au cœur des discussions. Olivier Courtil, représentant d’Enedis, a pris la parole pour aborder les enjeux de prévention et de sécurité dans la filière. Son intervention a mis en avant l’importance de renforcer les mesures de protection pour les employés et les sous-traitants, notamment sur les chantiers à haut risque. Il a insisté sur la nécessité d'une culture de la sécurité bien ancrée au sein des entreprises afin de garantir la protection des équipes ainsi que la continuité des services.

Le séminaire a également été l’occasion d’explorer l’avenir du secteur avec la présentation de la vision stratégique d’Enedis pour la prochaine décennie. Pierre Pramayon a détaillé cette vision en expliquant les objectifs de développement d'Enedis face aux mutations énergétiques et technologiques à venir. Transition énergétique, modernisation des infrastructures et intégration des nouvelles technologies étaient au cœur de ses propositions pour anticiper les défis à venir d’ici 2034. Son exposé a captivé l’audience, ouvrant la voie à des discussions fructueuses sur l’évolution du réseau électrique.

Le séminaire s’est clôturé par une annonce importante : l’élection de Bruno Souchal, dirigeant d’entreprises et directeur du Groupe Allez et Cie, au poste de Président du SRER. Son élection a été saluée par l’ensemble des participants, qui ont vu en lui un leader capable de poursuivre le travail engagé par ses prédécesseurs tout en apportant une vision renouvelée pour l’organisation. L’assemblée a chaleureusement applaudi ce nouveau chapitre dans l’histoire du syndicat.

Ce 5ᵉ séminaire du SRER aura marqué les esprits, tant par la richesse des échanges que par la forte symbolique de ce moment de transition. Sous la présidence de Bruno Souchal, le SRER est prêt à relever les défis de demain avec détermination et ambition.

L’Union Nationale des syndicats professionnels de construction et d’entretien des réseaux secs, dite SNER, est l’entité juridique regroupant la totalité des SRER et des SIRER (Syndicats interrégionaux) présents sur le territoire français.

Ses actions sont principalement axées vers les clients de ses adhérents. En effet, le SNER et les SRER œuvrent dans le secteur des réseaux secs : l’électricité, le gaz, l’éclairage public, les télécommunications et le très haut-débit.

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(Communiqué) Le Groupe VALOREM, producteur indépendant pionnier des énergies vertes en France et Hoffmann Green Cement Technologies, acteur industriel engagé dans la décarbonation du secteur de la construction qui conçoit et commercialise des ciments innovants sans clinker, annonce le coulage de la première fondation d’éolienne au monde à base de béton décarboné 0% clinker.

C’est sur le chantier du parc éolien de la Plaine des Moulins à Jazeneuil (Vienne), que le Groupe VALOREM a souhaité qu’Hoffmann Green et ses partenaires réalise une première mondiale : le coulage d’une fondation d’éolienne avec un volume de béton décarboné de 630 m3. L’utilisation d’un béton décarboné a permis de réaliser un gain de 33 tonnes de CO2, soit 32% de moins qu’avec un béton traditionnel et ce sans changement majeur de méthode pour le chantier.

Cette réalisation est d’autant plus remarquable qu’il s’agit d’une application très exigeante où le coulage est effectué en une seule fois avec une très forte densité de ferraillage afin d’assurer la durabilité de ce type d’ouvrage.

Le parc éolien de La Plaine des Moulins comptera 5 éoliennes de 180 mètres de haut en bout de pale pour une puissance totale installée de 18 MW. Il produira environ 42 GWh d’électricité verte correspondant à 18,6 % de la consommation électrique de la communauté de commune du Haut Poitou. Le parc devrait être mis en service début 2025.

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