21/01/2024
Jean-Philippe Lemesle nommé Directeur Général du Groupe Lhotellier. Cette nomination s’inscrit dans la dynamique de transformation en cours au sein de l’entreprise. C’est également l’occasion pour l’entreprise familiale en pleine expansion de présenter ses perspectives pour l’année 2024.
Fils d'entrepreneur, issu du tissu local et diplômé de l’EM Normandie, Jean-Philippe Lemesle rejoint le groupe Lhotellier en 2014 en tant que directeur de site. En 2016, il devient directeur matériaux pour le Groupe, puis prend la direction du pôle industries en juillet 2018. Il assure en parallèle la vice-présidence de l’entreprise familiale au sein du CODIR. Entre 2020 et 2023, il occupe également la fonction de Président de l'UNICEM des Hauts-de-France.
Répondre aux objectifs fixés du plan pluriannuel stratégique « En route vers 2026 »
La nomination de Jean-Philippe Lemesle au poste de Directeur Général du Groupe Lhotellier constitue une nouvelle étape dans notre plan stratégique « En route vers 2026 ». Élaboré en 2019, ce plan pluriannuel, répond aux grands enjeux de l'entreprise et s'exprime à travers trois piliers : « Bétonner » pour consolider les métiers historiques du groupe ; « Bouger » pour trouver de nouveaux leviers de croissance en lien avec notre environnement et « Explorer » pour anticiper les besoins de nos territoires. « Notre entreprise croit rapidement, nous devons continuer le travail de structuration qui est engagé tout en conservant notre ADN d'entreprise familiale. Pour cela, nous nous appuyons sur notre Raison d'Etre, un guide, qui met au cœur de notre système les Hommes et les Femmes de l'entreprise, et l'Expertise au service du développement de nos territoires » indique Jean-Philippe Lemesle, Directeur Général du Groupe Lhotellier
« Depuis 10 ans dans notre groupe, Jean-Philippe Lemesle a su construire sa légitimité, il a su transformer et moderniser notre métier de producteur de minéraux en un métier innovant. Il mène également avec succès de nombreuses missions transversales. Sa capacité à rassembler, à s'entourer et à consolider les talents sont autant d'atouts qui lui permettront de réussir dans cette nouvelle mission. » explique Paul Lhotellier, Président du Groupe Lhotellier.
Créé en 1919 en Normandie, le Groupe Lhotellier est un groupe familial, centenaire et indépendant. Son Président, Paul Lhotellier, représente la 4ème génération d’entrepreneurs de la famille. Opérateur global en construction, le Groupe est expert dans les métiers des travaux publics, du bâtiment et du génie civil, de la dépollution, du désamiantage, de l’énergie et de l’eau. Propriétaire de ses propres industries et de ses carrières, négociant en matériaux, le Groupe propose une offre globale qui s’insère dans l’écosystème de l’aménagement des territoires auprès des acteurs privés et publics. L’entreprise accélère son développement et intègre de nouveaux métiers et de nouvelles prestations de services chaque année, qui le positionnent comme alternative locale aux acteurs nationaux sur les projets de toutes dimensions, y compris les plus complexes. Avec un chiffre d’affaires de 330 M€ en 2023 et 1670 collaborateurs en France, Lhotellier se développe sur deux pays : en Normandie, Hauts-de-France et en région parisienne en France et dans la région de Montréal au Canada. Fort de ses valeurs de proximité et humaines, le Groupe redistribue 90% de son chiffre d’affaires sur les territoires où il est implanté avec 55 sites répartis à proximité de ses clients. www.lhotellier.fr
19/01/2024
La livraison du premier transformateur, appelé « booster », destiné au futur poste électrique du Gué-au-Roux, situé à Soullans, a eu lieu. Ce transformateur facilitera l'intégration de l'électricité générée par le futur parc éolien situé entre l'Île-d'Yeu et Noirmoutier.
Mesurant 50 mètres de long pour un poids de 180 tonnes, le convoi a parcouru environ 17 kilomètres entre le port de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et Soullans afin de livrer cet équipement. Son rôle essentiel sera de compenser les perturbations du courant électrique liées à son transport sur une longue distance depuis le poste électrique en mer.
Pour ce faire, RTE devra installer des équipements spécifiques au sein du poste électrique, et c'est là que les transformateurs boosters interviennent. Ils ont pour fonction d'équilibrer la tension sur le réseau. Un autre transformateur est prévu d'arriver en mars 2024.
Dans le Nord-Ouest-Vendée, d'autres travaux sont en cours pour préparer la mise en service des éoliennes maritimes. Depuis quelques semaines, un immense navire est visible au large de Noirmoutier, utilisé pour l'installation de quatre pieux destinés à recevoir la fondation jacket et le topside de la sous-station électrique en mer. En février, le déploiement de câbles sous-marins devrait débuter entre La Barre-de-Monts et le poste électrique en mer.
La mise en service de l'ensemble du projet est prévue pour 2025. Pour rappel, ce projet ambitieux prévoit l'installation de 62 éoliennes en mer entre l'Île-d'Yeu et Noirmoutier. Avec un investissement de deux milliards d'euros, il devrait permettre de produire 1900 GWh par an, équivalent à la consommation annuelle de 800 000 personnes.
19/01/2024
L'Intermat, qui se déroulera en avril 2024, aura pour thème « low-carbon », offrant ainsi une opportunité unique à Wacker Neuson de présenter son portefeuille zéro émission, comprenant déjà une trentaine de machines de travaux publics et de matériel de chantier, allant des pilonneuses sur batterie aux pelles électriques.
François Escourrou, directeur de Wacker Neuson en France, souligne : « Ce salon constitue une excellente vitrine pour présenter nos dernières innovations et démontrer aux visiteurs la qualité, l'efficacité et l'ergonomie de nos machines. »
Les échanges personnels et les discussions approfondies avec les visiteurs sur l'électrification, la numérisation et l'innovation sont au cœur de la participation de Wacker Neuson au salon de cette année à Paris. Occupant une superficie d'environ 500 mètres carrés, Wacker Neuson ne se limite pas à présenter son portefeuille zéro émission, mais propose également de nombreux autres produits et solutions qui facilitent le quotidien sur les chantiers.
Un chantier zéro émission En tant que pionnier dans le domaine des machines de TP sur batterie, Wacker Neuson étend son portefeuille en permanence depuis 2013 et œuvre non seulement au développement de nouveaux produits, mais aussi à l’utilisation de tout l’écosystème pour ses clients : de l’infrastructure de charge aux services en passant par les solutions de financement, différents modèles d’utilisation et l’analyse du cycle de vie des batteries.
Le premier chariot télescopique électrique TH412e fait partie des derniers membres de la famille zero emission. Avec sa construction compacte de moins de deux mètres, il permet de travailler dans des espaces exigus sans émettre de gaz d’échappement au niveau local, par exemple en cas d’utilisation dans des parkings souterrains ou des entrepôts. Deux batteries lithium-ions sans entretien sont proposées pour le TH412e : de série 18 kWh, en option 28 kWh. Grâce à un chargeur intégré, auquel peut être ajouté un second chargeur en option, la machine peut être rechargée rapidement et facilement,
Avec les solutions de la gamme zero emission, il est déjà possible d’exploiter des chantiers sans aucune émission directe de gaz d'échappement, par exemple en centre-ville. Wacker Neuson profitera de l’Intermat pour présenter les nouveautés de sa gamme zero emission et pour montrer que le passage aux machines électriques (#switchtogreen) peut être intéressant et simple pour les clients. La nouvelle génération des pilonneuses sur batterie qui ont fait leurs preuves depuis 2013 sera également exposée sur le salon.
EW100 : une nouvelle ère s’ouvre pour les pelles sur pneus À voir également à notre stand : la pelle EW100. La pelle sur pneus de dix tonnes est unique dans sa catégorie et redéfinit la norme. une gestion intelligente des équipements avec reconnaissance des outils, une interface homme-machine repensée en profondeur et la compatibilité avec différents systèmes d’assistance et interfaces, entre autres. L’intuitivité et l’efficacité ont été la priorité lors de la conception : le système hydraulique de translation puissant et une performance élevée de travail au sol permettent à la EW100 de réaliser des tâches particulièrement difficiles qui nécessitent habituellement l’intervention d’une pelle de 14 tonnes.
Informations complémentaires sur le site www.wackerneuson.com ou sur le stand 5a D 078 sur le Salon Intermat 2024.
19/01/2024
Sogelink, leader européen des solutions logicielles pour les professionnels des infrastructures, des chantiers et du patrimoine, réalise l’acquisition de Geopixel, éditeur de logiciels proposant une solution topographique de premier plan pour les acteurs de la construction.
Avec cette quatrième acquisition en moins de deux ans, Sogelink démontre une nouvelle fois sa volonté de renforcer son offre sur l’ensemble de la chaîne de valeur des projets de construction et consolide sa position d’acteur incontournable dans la réalisation de travaux topographiques. Soutenu par Keensight Capital, l’un des principaux fonds de capital-investissement dédié aux investissements paneuropéens de Growth Buyout[1], Sogelink entend accélérer son développement en France, dans le domaine de la mesure topographique, en se rapprochant d’un autre acteur clé de ce secteur : Geopixel.
Ces dernières années, le domaine de la topographie n’a cessé d’évoluer, demandant aux professionnels du secteur de faire face à de nombreux défis : effectuer des mesures plus précises dans des délais toujours plus courts, travailler dans des environnements variés et de plus en plus complexes, maîtriser des technologies en constante évolution (drone, photogrammétrie etc…). Sogelink, dont la vocation est de simplifier la construction pour tous à travers le monde, entend s’appuyer sur l’expertise et le savoir-faire de Geopixel pour accélérer son développement et renforcer son offre topographique de pointe.
Geopixel propose, en effet, une suite de solutions dédiée à la topographie basée sur sa propre technologie. Spécialement conçue pour les acteurs de la mesure, l’offre de Geopixel va naturellement venir compléter la proposition de valeur de Sogelink sur ce segment. De son côté, Sogelink permettra à Geopixel de bénéficier de technologies Cloud avancées et d’un rayonnement international.
Fatima Berral, CEO de Sogelink, a déclaré : « L’acquisition de Geopixel s’inscrit parfaitement dans notre volonté de renforcer notre présence auprès des acteurs de la topographie. Nous avons la chance de proposer des solutions qui évoluent dans des environnements techniques complémentaires. Nous nous réjouissons de poursuivre le travail réalisé par les fondateurs de Geopixel, Gérard et Pascale Costamagna, et d’intégrer de nouveaux experts au sein de nos équipes. »
Jean-Michel Beghin, Managing Partner de Keensight Capital, a ajouté : « Nous sommes ravis d’accompagner cette dernière acquisition de Sogelink, parfaitement en ligne avec la stratégie de développement de son offre sur l’ensemble de la chaîne de valeur des projets de construction. L’intégration de Geopixel renforcera sa position d’acteur clé pour la réalisation de travaux topographiques et accélèrera encore son développement.»
Gérard Costamagna, CEO et fondateur de Geopixel, a conclu : « Depuis 30 ans, nous proposons aux acteurs du BTP une offre topographique à la pointe de la technologie, qui, au fil du temps, s’est adaptée aux enjeux de notre écosystème et nouveaux besoins de nos clients. Nous avions à cœur de laisser Geopixel aux mains d’une entreprise partageant notre expertise et nos valeurs. Sogelink a été une évidence pour nous. Grâce à son expérience et sa connaissance du métier, Sogelink saura continuer à faire grandir cette offre. »
À propos de Sogelink
Sogelink est un éditeur de solutions logicielles, cloud et mobiles qui accompagne la digitalisation du secteur de la construction depuis plus de 25 ans. Sogelink vise à̀ simplifier la construction pour tous à travers le monde, et propose à chaque acteur du secteur (bureaux d’études, géomètres, topographes, entreprises de travaux, collectivités locales, exploitants de réseaux, bailleurs sociaux, etc.) une approche innovante et efficace en matière de transition numérique, de données sur les bâtiments et de modélisation des informations urbaines. Le groupe est présent sur toute la chaîne de valeur, de la conception d’un projet jusqu’à l’exploitation via son jumeau numérique. Leader de la Construction Tech en Europe, Sogelink poursuit par ailleurs son développement international et compte aujourd’hui 18 000 clients et 220 000 utilisateurs.
À propos de Geopixel
Pionnier des logiciels de topographie sur tablette graphique, Geopixel conçoit, développe et commercialise une solution logicielle modulaire capable de répondre aux multiples évolutions des métiers de la topographie. Créée en 1993 par Gérard et Pascale Costamagna, Geopixel simplifie et automatise les procédures de travail des différents acteurs de l’écosystème (géomètres, topographes, bureaux d’études, architectes, entreprises du BTP, collectivités locales…), du terrain jusqu’au bureau.
Implantée près de Toulon, Geopixel réunit aujourd’hui plus 750 utilisateurs et propose au travers de son réseau de distribution, une solution matérielle et logicielle complète.
À propos de Keensight Capital
Keensight Capital, l’un des acteurs de référence en Europe dans le domaine du Growth Buyout, accompagne les entrepreneurs dans la mise en œuvre de leurs stratégies de croissance. Depuis 20 ans, l’équipe de Keensight Capital, composée de professionnels chevronnés, met à profit sa connaissance des secteurs de l’investissement et de la croissance pour investir à long terme dans des sociétés rentables à fort potentiel de croissance et dont le chiffre d’affaires s’établit entre 10 millions et 400 millions d’euros. En s’appuyant sur son expertise dans les secteurs de la Tech et de la Santé, Keensight identifie les meilleures opportunités d’investissement en Europe et travaille en étroite collaboration avec les équipes de direction pour développer et réaliser leur vision stratégique. Les succès de Keensight Capital lui ont valu de recevoir un Gold Award des Private Equity Exchange & Awards pendant sept années consécutives, et en particulier, celui du Meilleur Fonds de Growth Private Equity Européen.
19/01/2024
Le Village Béton sera à nouveau au Carrefour des Gestions Locales de l’Eau à Rennes, le 31 janvier et le 1er février. Sous l’égide de la FIB et du CERIB et en partenariat avec CIMbéton, il permettra d’échanger avec les principaux industriels du béton et les experts de la gestion de l’eau et de l’assainissement, autour de leur engagement collectif en faveur de la transition écologique et de la décarbonation.
Le Groupe produit Assainissement de la FIB, représenté par les entreprises Alkern, Blard, CRP, Libaud, Stradal, Thébault et Urvoy, y présentera la diversité des solutions préfabriquées en béton pour la maîtrise des risques d’inondation, la protection du milieu naturel, la préservation de la ressource en eau et la gestion des eaux usées et pluviales.
Depuis plus de 20 ans, l’Industrie du Béton déclare l’impact environnemental de ces produits. Dans le domaine de l’assainissement, les premières fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) publiées en 2004 ont été actualisées, complétées et mise en ligne sur www.inies.fr pour en permettre l’accès à tous les acteurs du marché.
L’Industrie du Béton fait évoluer ses produits pour en diminuer l’impact carbone et s’inscrire dans une démarche d’économie circulaire. Cette conférence présentera la démarche globale de l’Industrie du Béton et les perspectives qu’elle initie pour les solutions préfabriquées utilisées pour la gestion du cycle de l’eau.
Intervenants : Florian Pedrono, délégué à l’action régionale Ouest, CERIB, Benjamin Daubilly, directeur Génie civil, CIMbéton et Christian Jacob, président de FIB Assainissement.
Les solutions préfabriquées en béton sont fabriquées localement dans une démarche d’économie circulaire, d’éco-conception et de préservation des ressources, à partir de produits fabriqués à froid, très peu consommateurs d’énergie, d’eau et de CO2 et 100 % recyclables en fin de vie.
Elles ont recours à une ressource naturelle minérale disponible partout en France, limitant l’empreinte environnementale de production, en économisant l’énergie et le transport, en réduisant la production de déchets en usine et sur chantier par le recyclage et le réemploi.
Les solutions préfabriquées en béton de haute technicité et résistance s’adaptent aux spécificités de chaque chantier, aux contraintes budgétaires des collectivités, en termes d’investissement et d’entretien et à toutes problématiques environnementales pour la protection du milieu naturel, le traitement des eaux usées, la collecte et infiltration des eaux pluviales, le stockage et l’évacuation des eaux en surface (revêtements drainants, chaussées réservoirs, bassins de rétention et dépollution, tunnels de stockage, regards, ouvrages de régulation...).
L’utilisation du BIM et la prise en compte des données numériques dans l’exploitation des réseaux, permettent aussi de mieux rationnaliser les étapes de conception, exécution et maintenance tout au long de la vie des ouvrages, avec des modèles génériques inscrits dans la base de données des produits et systèmes de l’Industrie du Béton.
La FIB et le CERIB ont édité des outils à destination des acteurs de l’eau, tels que le Guide « Solutions préfabriquées en béton pour la gestion des eaux pluviales », la plaquette « La certification NF ANC », le logiciel ODUC+ pour le dimensionnement hydraulique et mécanique des réseaux d’assainissement, utilisable en ligne sur www.oduc-plus.fr.
Tous ces outils sont téléchargeables sur www.cerib.com et www.fib.org
La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100 % d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables. www.fib.org
Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec plus de 180 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15 000 m2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche. www.cerib.com
Le Centre d’information sur le ciment et ses applications (Cimbéton) a pour mission de faire connaître les progrès techniques des ciments et des bétons dans tous les secteurs de la construction, bâtiment, travaux publics, génie civil. La filière béton offre une gamme très étendue de solutions constructives innovantes et éco-performantes pour aménager durablement nos territoires et contribuer au bien-être de nos concitoyens. Tous les acteurs de la filière ont à cœur de contribuer à produire des logements sains, performants et accessibles, des transports doux et sobres en CO2, des infrastructures qui protègent, et créent du lien. Pour en savoir plus : www.infociments.fr
18/01/2024
Rendez-vous pour le 59ème Congrès DLR à Reims les 28 et 29 mars 2024 !
Une fois par an, le Congrès DLR permet aux acteurs de la profession et à son écosystème de se rencontrer et d’échanger autour de thématiques d’actualité. Pendant 2 jours, conférences, tables rondes, dîner de gala, stands d’exposants et de partenaires, réunissent plusieurs centaines de participants dans une ambiance studieuse, stimulante et conviviale.
Pour en savoir plus cliquez-ici
Créé en 1965, DLR regroupe et fédère aujourd’hui les entreprises des secteurs de la distribution, de la location, de la maintenance et des services pour les matériels destinés à la construction et à la manutention.
La fédération rassemble désormais aussi des syndicats membres partenaires dans les domaines de la construction industrialisée et modulaire (ACIM), des matériels agricoles et d’espaces verts (FNAR) et du levage (UFL).
Ses adhérents réalisent 70 % du volume d’activité du marché. DLR est présidé depuis 2021 par Philippe COHET et animé par de nombreux chefs d’entreprise de la profession et une équipe de 12 collaborateurs.
18/01/2024
C’est l’entreprise de travaux publics et d’aménagements responsables qui se développe au triple galop. Depuis son fief d’Alixan dans la Drôme (26), le groupe CHEVAL, à présent actif dans le quart sud-est de l’hexagone poursuit une expansion raisonnée. La maîtrise des moyens matériels, au service de ce développement, est basée sur une sélection rigoureuse des principaux fournisseurs.
Avec 25 machines aux couleurs de Yanmar CE EMEA (Yanmar CE), sur un parc total de 54 mini-pelles, la marque est bien représentée au sein du groupe familial. La grande majorité de ces machines sont opérationnelles au sein des sociétés de TP et de paysagisme du groupe. Parmi les modèles les plus représentés, figurent les Yanmar CE ViO 1,7 t, 2t, 2,7 et 3,3 t ainsi que les Yanmar CE B7 Sigma 7 t. Les configurations sont globalement standard, même si le « balancier long est quasi systématique et les chenilles de 250 mm de largeur. Afin de pouvoir recevoir tarières, godets orientables et autre BRH, la ligne auxiliaire est systématisée.
Cette présence significative, qui tend à se renforcer, ne doit rien au hasard si l’on se réfère aux valeurs portées par la société familiale, sa politique d’achat et sa stratégie Matériel.
Il faut dire que le groupe, créé en 1949, a le vent en poupe ! Depuis trois générations, il n’a cessé de monter en compétences, d’étendre sa couverture géographique et de diversifier ses activités. Avec une farouche volonté d’indépendance, le développement est inscrit dans l’ADN de l’entreprise, pionnière dans les secteurs de l’aménagement et de l’environnement a avoir opté pour le statut d’entreprise à mission. Un engagement fort voulu par Jean-Pierre Cheval, le président, auprès des clients comme des 1 100 collaborateurs qui réalisent plus de 3 000 chantiers chaque année.
Cliquez-ici pour lire la suite du communiqué
18/01/2024
La société BAYET-TP, établie à Domérat (03), commune située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes, vient récemment d'investir dans une nouvelle aspiratrice-excavatrice EXVAC du fabricant français RIVARD.
BAYET-TP est répertoriée sur l'application : www.aspiratrices-excavatrices.com. Leurs aspiratrices-excavatrices sont disponibles à la location avec un opérateur qualifié possédant toutes les certifications nécessaires. Ils interviennent dans le département de l'Allier et dans tous les départements limitrophes.
L'aspiratrice-excavatrice EXVAC du constructeur RIVARD présente d'excellents avantages en termes de productivité, d'ergonomie, de fiabilité et de sécurité. Le choix de la turbine, la disposition des filtres et leur système de filtration, le design de la cuve, l'articulation du bras, la facilité d'entretien, tout est conçu pour optimiser les rendements, garantir la fiabilité de l'équipement et prolonger sa durée d'exploitation. C'est l'équipement idéal pour la réalisation de travaux d'aspiration à distance, en hauteur ou en profondeur, qu'il s'agisse de matériaux solides, liquides ou pâteux.
En activité depuis 2014, la société BAYET-TP est spécialisée dans les domaines des travaux de terrassement courants et préparatoires, des VRD, des travaux publics, de l'assainissement, du transport de matériaux, de la démolition, des aménagements extérieurs, etc. Ils disposent d'équipements de pointe qui leur permettent de mener à bien la réalisation de projets de grande envergure. Pour en savoir plus cliquez-ici
17/01/2024
L'entreprise BEUZIT a confié à la société MARAIS (groupe Tesmec) la mission d'enterrer des réseaux électriques HTA sur une longueur de 4600 mètres sans avoir recours au sablage traditionnel, grâce à l'utilisation de câbles EDR (Enterrabilité Directe Renforcée).
La pose de câbles EDR a non seulement optimisé les processus mais a également réduit les coûts opérationnels. Il s'agit d'un exemple concret de leur engagement envers des solutions efficaces et adaptées !
En rappel, depuis que l'on enfouit les réseaux (fourreaux et câbles pour les télécommunications, câbles électriques, conduites, gaz, eau, assainissement, etc.), il est obligatoire de les protéger avec du sable ou du béton. Cela représente, que ce soit dans les lotissements, les villages, en montagne, en campagne, des centaines de milliers de mètres cubes de matériaux nobles extraits et autant remis en décharge ou traités. De plus, cela génère des milliers de navettes de camions, causant des désagréments aux riverains, des dommages aux chaussées et aux accotements, mais surtout un désastre environnemental.
Il est donc possible de distinguer trois catégories de pose d'un câble électrique, par ordre préférentiel :
1. Pleine terre composée de fines, exemptes de cailloux : aucune protection complémentaire n'est alors nécessaire. C'est la condition de pose optimale.
2. Pleine terre constituée de cailloux non agressifs (cailloux n'ayant pas des bords tranchants, quelle que soit leur taille) : dans ce cas, il faut déterminer une solution de pose optimale en fonction de critères économiques, parmi les solutions suivantes :
A. L'utilisation d'un câble de type EDR (Enterrabilité Directe Renforcée) est la solution préférentielle d'un point de vue technique.
B. L'utilisation d'une enveloppe de protection (RockShield).
C. L'utilisation du sable d'extrait naturel (rivière ou carrière).
3. Terre constituée de cailloux agressifs : dans ce cas-là, seule l'utilisation de sable d'extrait naturel (rivière ou carrière) est préconisée.
17/01/2024
L’attente était forte, les résultats sont là : en 2023, le solaire a nettement amplifié son déploiement en France. Les chiffres de raccordement publiés lundi 15 janvier par Enedis, gestionnaire du réseau de distribution d’électricité, sont clairs : avec plus de 200 000 installations (soit plus du double de 2022) et 3 135 MW de puissance raccordée sur l’année (soit 30% de plus qu’en 2022), le marché du solaire photovoltaïque franchit de nouveaux paliers.
La loi d’accélération pour la production d’énergies renouvelables votée en mars dernier sous l’impulsion de la Ministre de la Transition énergétique envoyait aux professionnels un signal de mobilisation forte, déterminée et durable, pour réduire les dépendances énergétiques révélées brutalement par la guerre en Ukraine. Les chiffres sont clairs, la filière solaire a été au rendez-vous et permis à notre pays d’avancer dans la bonne direction. Ces chiffres témoignent aussi de la mobilisation plus large de la société française : les particuliers se lancent dans l’autoconsommation, mais aussi les commerces ou l’industrie (comme le montre la croissance des installations > 100 kVA).
La dynamique du solaire est donc sur la bonne voie – et les futures giga factories de production de panneaux solaires, cruciales pour la souveraineté française et européenne, y aideront encore. Mais se satisfaire de ces bons chiffres ne suffit pas. 2024 doit être une nouvelle année record, et la constance du soutien public en est une condition essentielle.
Pour Daniel BOUR, président d’Enerplan : « Il faut saluer, derrière cette dynamique, le travail et la mobilisation des équipes d’ENEDIS et bien sûr des professionnels et des entreprises du solaire. Cette accélération est aussi à mettre en parallèle avec la politique très volontariste menée par la Ministre de la Transition Énergétique, Madame Agnès Pannier-Runacher. Les résultats de cette année 2023 doivent être reconnus, et soutenus. L’année 2024 va, en toute logique, amplifier ces résultats, suite à la loi d’accélération des ENR, avec un objectif, que nous escomptons largement supérieur à 4 GW. Les futurs objectifs de programmation énergétique doivent confirmer cette dynamique et la place de l’énergie solaire dans le mix électrique français. »
17/01/2024
Les Intermat Innovation Awards font leur retour pour leur 9e édition. À l'occasion des Press Days organisés par les responsables du salon dédié aux solutions et technologies durables pour la construction, les entreprises nominées dans chacune des cinq catégories ont été révélées.
La présentation des cinq grands lauréats est prévue pour le premier jour du salon, le 24 avril prochain. Néanmoins, les organisateurs ont dévoilé la liste des trente nominés parmi plus de 70 dossiers reçus lors des journées presse d'Intermat.
Représentant les cinq domaines d'expertise du salon, cinq catégories composent ce concours international, comprenant les nouvelles catégories "Nouvelles technologies et énergies" et "Décarbonation & transition énergétique".
Voici les nominés par catégorie :
Terrassement, démolition et transport :
Cangini Benne SRL (système Evo pour les attaches rapides)
DMS Technologie (son grappin de tri incluant l'outil de support Softgri)
Duratray International (Smart Tray)
Dynaset OY (godet HRVB)
Minitop (Tracksformer)
Steelwrist (tilt coupler TCX)
Steelwrist (Open-S Standard)
Routes, Industries des matériaux et fondations :
Bomag (assistance au freinage d’urgence)
DMS Technologie (pilotage de lame de nivelage - PLN)
Ermont (l’usine d'enrobés TSX)
Supply Company (pigment en tablette)
Wirtgen France (revalorisation des pics de fraisage routier)
Bâtiment, génie civil et filière du béton :
AraNea (fibre composite verre résine)
Betolar (Geoprime Hollow-Core Slab dalle alvéolée)
Putzmeister (e-malaxeur iontron)
Sateco (thermokit)
Selfbéton (distributeur automatique de béton)
Selfbeton (e-selftoupie)
Nouvelles technologies et énergies :
Bergerat Monnoyeur (solutions d'IA et de réalité augmentée)
ChronoFlex (solution de filtration de l'huile hydraulique)
Cojali France (Jaltest diagnostic AR)
Excess Engineering (actionneur électrique)
Komatsu (outils collecte de données terrain)
Moasure (Moasure One)
Tenstar Solution AB (Virtual Training Space)
Décarbonation & transition énergétique :
Marini (evodryer)
Multlitel (gammes électriques Axon)
Moog Construction (ZQuip, Terratech ecosystem)
NovumTech (système d'électrification)
Une nouveauté de cette 9e édition est la remise de quatre prix spéciaux : Initiative et Solution bas carbone, World of Concrete Europe, Start-up, Sécurité, Initiative & Solution bas carbone. Les lauréats seront dévoilés en avril lors de la cérémonie.
Pour départager les candidats, un jury présidé par Alain Grizaud, président de la FNTP et composé d'utilisateurs et d'experts œuvrant au sein d'entreprises ou organismes du secteur, a été constitué. Les membres du jury incluent Dominique Chevillard, directeur technique et de la recherche à la FNTP, Christophe Possémé, président de l'UMGO-FFB, Fabrice Blanc, directeur Matériel chez Eiffage Génie Civil, Maxime Chamillard, coordinateur Labs & consultant Stratégie innovation chez Impulse Partner, Vincent Simon, directeur de l’engagement des ambassadeurs chez WorldSkills, Matthieu Armengaud, responsable Maintenance Sécurité Environnement chez DLR, Frédéric Peigne, directeur de Projet des Lignes 16 et 17 du Grand Paris Express à la Société du Grand Paris, François Renault, directeur Matériel et Environnement chez Kiloutou, et Anthony Goubert, influenceur chez Radio TP.
16/01/2024
Colas, à travers ses filiales Colas Rail (mandataire du groupement), Spac et Colas France, a remporté le contrat de conception et de réalisation « clé en main » d’une unité de production, de stockage et de distribution d’hydrogène à Dunkerque.
Ce projet baptisé « Système Hydrogène pour la Mobilité Electrique du Dunkerquois » (SHYMED) est développé par Hynamics, filiale du groupe EDF, en partenariat avec la Communauté Urbaine de Dunkerque et la Caisse des dépôts et Consignations.
D’une puissance de 1,25 MW en phase 1 (jusqu’en 2025), cette unité de production permettra d’alimenter dix bus à hydrogène ainsi que des véhicules de collecte de déchets à proximité du Centre de Valorisation Energétique de Dunkerque. SHYMED devrait ainsi permettre d’éviter chaque année l’émission de 1 137 tonnes de CO2.
Colas Rail assurera la direction du projet et pilotera les activités courants forts, courants faibles et automatisation de la station.
Spac sera chargé de la conception, des activités réseaux d’hydrogène et de la fourniture des équipements critiques, en particulier ceux liés à l’électrolyse, à la compression et à l’avitaillement des véhicules.
Colas France mènera l’ensemble des travaux de terrassement, voirie et réseaux divers, ainsi que ceux de génie civil et d’aménagement.
Les études de conception sont en cours d’achèvement et le chantier a démarré, pour une mise en route prévue fin 2024.
"Cette première référence permet au groupe Colas de se positionner en tant que fournisseur de solutions clés en main hydrogène pour ses clients, sur un nouveau marché prometteur qui répond aux enjeux d’un monde décarboné", déclare Hervé Le Joliff, président de Colas Rail.
Le projet s’inscrit dans l’objectif de la Communauté Urbaine de Dunkerque de développer des « zones industrielles bas carbone » (ZIBAC), dans le cadre du plan d’investissement France 2030.