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My-NDS, distributeur de solutions de détection de réseaux enterrés basé à Toulon depuis sa création en 2014, annonce sa participation au salon INTERMAT pour célébrer ses 10 ans d'existence. Des surprises sont prévues au stand 5B E 084, mettant en avant la sélection minutieuse des produits distribués par l'entreprise.

Créée en 2014 et basée à Toulon, ce distributeur de solutions de détection de réseaux enterrés sélectionne avec attention les produits qu’elle distribue. 

Julien CABAGNO, co-fondateur le précise : « Nous travaillons uniquement sur le long terme, avec nos clients comme avec nos partenaires fabricants. Nous sélectionnons des appareils fabriqués en Europe ou en Amérique du Nord, qui ont fait leur preuves sur le terrain, qui sont fiables et robustes. C’est primordial pour nous, et c’est pourquoi nos clients font confiance à nos solutions clé en main.». 

Philippe CAPON, complète : « Depuis quelques années, nous sommes certifiés QUALIOPI, c’est aussi un gage de qualité pour nos clients qui se lancent en détection de réseaux enterrés. Nous les accompagnons de A à Z, et recherchons constamment de nouvelles applications pour diversifier par la suite leur activité. Je prends pour exemple notre caméra acoustique de détection de fuites d’air comprimé FLIR, ou bien notre odomètre connecté CARTA. » 

Quelques nouveautés sélectionnées dans la gamme présentées sur INTERMAT 2024 :

Géoradar QUANTUM SE : Le best-seller des géoradars du marché, l’USRADAR QUANTUM est un géoradar tri-fréquences permettant de localiser tous types de réseaux. Il offre la gamme de fréquence la plus large avec ses antennes 250Mhz, 500Mhz et 1.000Mhz. Désormais disponible en version SE, il utilise le Wi-Fi pour une connection sans fil entre sa tablette Getac F110 et le bloc d’antennes. Très robuste et fait pour évoluer sur tous type de terrains grâce à son origine militaire, le QUANTUM SE est LA solution idéale pour localiser tous types de câbles et canalisations. 
Une version mono-antenne Q5C évolutive, reprenant tous les avantages du QUANTUM SE est également disponible : GRDF l’a d’ailleurs sélectionné dans le cadre de son marché de fourniture de géoradars en France. 

Détecteur RD8200SG : Outil de référence, le détecteur électromagnétique RD8200 de RADIODETECTION propose dorénavant une fonctionnalité géoréférencement grâce à son option SG - Survey Grade. Localisez un réseau conducteur, suivez-le et géo-localisez le en simultanée pour gagner du temps sur le terrain !

Localisateur PE LOCATOR : Innovation majeure permettant la localisation de réseaux d’eau en polyéthylène (PE) grace à une méthode acoustique très précise. Ce récepteur est si performant qu’il permet également d’effectuer des opérations de recherches de fuites : une solution deux-en-un pour les réseaux PE eau. Un émetteur est raccordé sur la canalisation, tandis que l’opérateur, casque sur les oreilles, et module de lecture en main, utilise une cloche d’écoute posée au sol. 

Odomètre connecté CARTA : Calculer une superficie complexe n’a jamais été aussi simple ! Connectez votre odomètre CARTA à votre smartphone, téléchargez l’application PLOTT, et roulez ! Les données apparaissent en temps réel sur votre écran : superficie, distance parcourue, calcul de volumes etc. Vous pouvez ensuite envoyer directement les résultats par SMS ou e-mail pour fluidifier vos échanges avec vos clients et vos équipes ! 

Caméra acoustique FLIR Si2 : Utilisée en milieu industriel, cette caméra acoustique permet de localiser facilement et avec précision l’emplacement d’une fuite d’air sur des réseaux de gaz comprimés. Une option permet également de localiser les défauts electriques de décharges partielles. Un rapport automatique est édité et permet le traitement de ces défauts dans le cadre d’une maintenance sur site.  

Plusieurs surprises seront annoncées sur le stand 5B E 084 à l’occasion des 10 ans de My-NDS !! Rendez-vous pour le lancement de leur nouveauté phare le mercredi 24 avril à 15h00. 

A cette occasion, profitez de 10% de remise* sur tout produit de votre choix sur l’intégralité de leur gamme avec le code : INTER10. * Offre non cumulable. 

Les collectivités côtières disposant d'un accès au littoral peuvent désormais exploiter une ressource énergétique souvent inexploitée jusqu'ici : la thalassothermie. 

Cette forme d'énergie renouvelable, basée sur l'exploitation de la chaleur naturelle des océans, offre un potentiel prometteur pour répondre aux besoins énergétiques locaux.

Le concept de thalassothermie repose sur un principe simple mais efficace : capturer la chaleur de l'eau de mer et la convertir en énergie utilisable pour les systèmes de chauffage, de climatisation et de production d'eau chaude. Ce processus utilise des échangeurs thermiques pour transférer la chaleur de l'eau de mer à une boucle d'eau douce, sans altérer l'environnement marin. Ensuite, cette eau de mer refroidie est rejetée dans son habitat naturel, tandis que l'eau douce chauffée est utilisée pour alimenter des pompes à chaleur réversibles, fournissant ainsi de l'énergie selon les besoins de chaud ou de froid.

Les régions côtières urbanisées bénéficient particulièrement de la thalassothermie, grâce à sa proximité avec les infrastructures de distribution d'énergie. En France, disposant d'une vaste zone littorale, cette forme d'énergie représente une solution particulièrement intéressante pour les collectivités métropolitaines et d'outre-mer.

La thalassothermie s'inscrit dans le cadre de la transition énergétique des territoires, aux côtés d'autres sources renouvelables telles que l'hydroélectricité, le photovoltaïque, le biogaz, la géothermie, le bois énergie et l'énergie éolienne. Soutenue par des aides nationales, locales et européennes, notamment de l'Ademe, cette technologie bénéficie d'un coup de pouce financier crucial pour développer des installations à la pointe de la technologie.

En exploitant la chaleur des océans, la thalassothermie offre une solution durable et locale pour répondre aux besoins énergétiques des collectivités côtières, contribuant ainsi à la lutte contre le changement climatique et à la promotion d'une économie verte.

Un exemple concret est celui des Sables d'Olonne qui vont utiliser l'eau de la mer pour chauffer 17 bâtiments. Les travaux se dérouleront jusqu'en 2027. Les explications sont fournies en vidéo par Laurent Gest, le directeur général d'Ecoplage.

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Exodigo, la plateforme d'imagerie de subsurface non intrusive basée sur l'IA, visant à améliorer le marquage au sol et à prévenir les dommages aux ouvrages sur les réseaux enterrés, a levé 105 millions de dollars. 

Ce tour de table, dirigé par Greenfield Partners et Zeev Ventures, avec la participation d’investisseurs existants tels que SquarePeg, 10D VC, JIBE et National Grid Partners, lui permettra de renforcer son équipe, d’accélérer le développement de ses produits et de soutenir son expansion sur de nouveaux marchés. 

Leur plateforme permet d'identifier avec précision l’emplacement des infrastructures souterraines telles que les câbles électriques, les pipelines de gaz, les canalisations d’eau et les réseaux de télécommunications. La cartographie souterraine permet de prévenir les accidents de creusement, tels que les ruptures de canalisations ou les coupures de câbles, qui peuvent entraîner des blessures, des dommages matériels et des interruptions de service.

Elle permet également aux entreprises et aux services publics de prendre des décisions éclairées concernant l’emplacement des nouvelles constructions, des routes et des réseaux de transport, en tenant compte des infrastructures enterrées existantes, réduisant ainsi les retards et les coûts supplémentaires liés à leur découverte inattendue. 

La cartographie souterraine joue également un rôle essentiel dans la sécurité publique et la protection de l’environnement. D’une part, en identifiant et en localisant les fuites de gaz, les déversements de produits chimiques et autres incidents souterrains, elle permet de prévenir les accidents potentiels et de garantir la sécurité des personnes et des biens. D’autre part, en évitant les excavations inutiles, elle contribue à réduire l’empreinte carbone et les perturbations environnementales associées aux travaux de construction. 

Ils sont présents sur le marché français depuis début 2023. Sur un site de test à Aubervilliers, ils ont permis de localiser 30 ouvrages enterrés dans la zone, alors que les plans existants n’en identifiaient que 19, et 35 réseaux dans une zone non cartographiée préalablement. La vidéo ci-dessous montre le fonctionnement de la solution et son potentiel.

Une figure emblématique du secteur de la vente de matériel et de services dans le domaine de l'assainissement prend sa retraite après avoir passé 40 années dans ce domaine. Bruno HERVE tire sa révérence, et nous lui adressons tous nos vœux de bonheur pour cette nouvelle étape.

Le 15 mars 2024, une célébration a marqué son départ ainsi que les 15 ans de la société ENVIRMAT, qu'il a fondée. Lors de cette journée mémorable, il a tenu à exprimer sa gratitude envers les clients, les fournisseurs, ainsi que les divers partenaires qui lui ont accordé leur confiance. Il n'a pas manqué de mentionner le soutien indéfectible de son épouse dans ce projet qu'est ENVIRMAT.

Il part comblé de voir que Florent Marc, le dirigeant de la société MDV, de REVA, et désormais d'ENVIRMAT, partage également sa vision et croit fermement au potentiel d'ENVIRMAT.

Brno HERVE a également exprimé sa reconnaissance envers Dimitri Serres, qui lui succède et devient ainsi votre interlocuteur privilégié. Vous pouvez le contacter à l'adresse suivante : dimitri@envirmat.com ou visiter leur site web www.envirmat.com.

Malgré les aléas météorologiques, l'inauguration du nouveau centre de Service Après-Vente (SAV) du constructeur RIVARD à Ploërmel, le vendredi 15 mars 2024, a été un véritable succès. Les clients fidèles et les partenaires sont venus en masse pour découvrir les installations et rencontrer l'équipe dévouée dirigée par Gaétan.

RIVARD, leader incontesté sur le marché de l'assainissement, propose une gamme complète de services répondant aux besoins de maintenance, de pièces détachées et de formations. Grâce à son réseau de centres techniques répartis à travers toute la France et à ses services sur site dédiés, l'entreprise s'engage à accompagner ses clients à chaque étape.

Avec plus de 300 collaborateurs dédiés, RIVARD affiche des performances remarquables. Produisant plus de 250 équipements par an, la société génère un chiffre d'affaires dépassant les 50 millions d'euros. Ses solutions diversifiées, allant des véhicules de première intervention aux unités combinées d'aspiration/haute pression, ont consolidé sa position prépondérante sur le marché.

Dotée d'une expertise interne variée, allant de l'aspiration à haute pression en passant par l'automatisme, RIVARD se positionne comme le maître d'œuvre incontournable pour les projets industriels de grande envergure. Elle répond également aux besoins spécifiques des entreprises du BTP en matière de terrassement grâce à des équipements spécialisés, démontrant ainsi sa polyvalence et son impact significatif dans l'industrie.

L'inauguration du centre SAV à Ploermel marque une étape clé dans l'expansion de RIVARD, renforçant son engagement envers ses clients tout en consolidant sa position de leader sur le marché.

Pensé comme un espace d’animation, le Village Start-up à INTERMAT 2024 sera implanté dans le hall 5b. Lieu convivial, le Village Start-up est un véritable tremplin pour faire émerger les jeunes sociétés parmi les plus grands.

Parmi les start-up inscrites, nous mettons aujourd'hui en avant la société HERACLES ROBOTICS qui développe un système de navigation et de travail autonome adapté au matériel de travaux publics existant afin de réaliser des opérations de terrassement sans conducteur d’engin.

À l'interface entre les terrassements traditionnels, le guidage 3D, la robotique et l'intelligence artificielle, la solution développée par HERACLES Robotics ouvre une nouvelle voie aux opérations de terrassement.

L’automatisation des engins disponibles sur le marché présente un triple avantage :

• Une réduction du coût des terrassements par la réduction de la main-d'œuvre et par l'optimisation des déplacements grâce à l'intelligence artificielle.
• Une réduction de l'impact environnemental grâce à l'optimisation du travail et à la suppression des déplacements inutiles.
• Une réduction et une maîtrise du délai grâce à une planification et une utilisation 24h/24.

Jean-Charles Le Floch, ingénieur travaux, a toujours cru en son idée. 

Au début de l'aventure, leur solution pouvait apparaître comme de la science-fiction ! Mais Jean-Charles Le Floch, ingénieur travaux, a toujours cru en son idée.

Il a passé 15 ans dans une entreprise de travaux publics, puisS il est devenu responsable d’exploitation d’une agence de travaux publics en en Normandie avec une activité liée au terrassement. Mon associé Silvère Faucon a sa propre entreprise, spécialisée dans la topographie et le guidage 3D des engins. 

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Le réseau électrique français devra subir des travaux de développement et de modernisation évalués à environ 100 milliards d'euros d'ici 2040, afin de faire face à son vieillissement et à la transition énergétique du pays.

Ce schéma décennal de développement du réseau (SDDR) vise à garantir que le réseau public de transport d'électricité soit adapté aux objectifs de politique énergétique fixés par l'État, explique RTE dans ses documents mis en ligne jeudi.

La dernière édition du plan, en 2019, prévoyait un budget de 33 milliards d'euros jusqu'en 2035. Depuis, l'État a redéfini ses orientations, souligne le groupe public : relance du nucléaire, accélération du développement des énergies renouvelables en mettant l'accent sur l'éolien en mer et le solaire, réindustrialisation via le développement de zones industrielles bas-carbone.

En première analyse, les perspectives d'investissements d'ici 2040 s'élèvent à environ 100 milliards d'euros, en incluant le renouvellement des infrastructures (...) qui constitue aujourd'hui le premier poste d'investissements de RTE", note le plan. Parmi les grands travaux figurent la planification d'un programme de raccordements "sans précédent", et le renforcement du réseau à très haute tension avant 2030 pour électrifier et accueillir de nouvelles industries dans les zones industrialo-portuaires.

Le plan envisage également la définition d'un programme de renouvellement des infrastructures, confrontées au changement climatique mais aussi au vieillissement (plus de 20 % des lignes aériennes ont 70 ans). Enfin, un enjeu majeur concerne la résistance aux agressions physiques et informatiques extérieures, souligne RTE. "Il n'est plus possible de différer les renforcements structurels du réseau au risque de ne pas pouvoir raccorder les projets", avertit RTE.

Le gestionnaire du réseau appelle également les acteurs (industries, énergéticiens) à anticiper pour mieux mutualiser les équipements, et souligne qu'il faudra "un plan industriel pour renforcer la capacité de l'industrie européenne en général, et française en particulier, à produire les matériels nécessaires". La consultation, qui s'adresse notamment aux industriels et aux territoires, est ouverte jusqu'au 30 avril. POUR EN SAVOIR PLUS CONSULTEZ LE SITE DE RTE

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Électrification des poids lourds : Enedis, TotalEnergies, VINCI Autoroutes et des constructeurs européens se mobilisent pour évaluer les besoins et enjeux de la recharge en itinérance en France d’ici 2035

Enedis, TotalEnergies, VINCI Autoroutes et six constructeurs européens – Iveco, MAN Truck & Bus France, Mercedes-Benz Trucks, Renault Trucks, Scania et Volvo Trucks – se sont associés pour évaluer les besoins et enjeux de l’électrification du transport routier de marchandises longue distance et plus particulièrement de la recharge en itinérance sur les principaux axes routiers français.

En France, le transport routier représente aujourd’hui 90 % des flux de marchandises et 7 % des émissions de gaz à effet de serre. Pour répondre aux objectifs de décarbonation fixés par les pouvoirs publics, les constructeurs se sont engagés sur la voie du développement des poids lourds électriques à batterie, principale technologie zéro émission à l’échappement. Le succès de cette électrification repose sur un déploiement adapté des infrastructures nécessaires à la recharge en itinérance. L’étude réalisée, et annoncée en septembre 2023, repose sur une modélisation fine du réseau routier ainsi que sur l’analyse des flux, des points d’arrêt des poids lourds et de l’électrification du parc d’ici 2035 en France.

Cinq enseignements pour décarboner la mobilité lourde et aménager le territoire :

1/ L’infrastructure de recharge : 12 200 points de recharge seront nécessaires pour la seule recharge des poids lourds en itinérance sur 519 aires de services et de repos – 10 000 utilisables lors des pauses de longue durée et 2 200 pour les pauses courtes avec de la recharge rapide.
    

2/ La puissance nécessaire sur le réseau : la seule recharge en itinérance des poids lourds pourrait représenter, à horizon 2035, une consommation d’énergie de 3,5 TWh/an (à comparer avec la consommation annuelle française, de l'ordre de 615 TWh en 2035) et un appel de puissance de 1,1 GW au pic. Ces besoins, significatifs, peuvent être intégrés par le réseau électrique, à condition d'anticiper et de planifier les travaux.
    

3/ La mutualisation des infrastructures de recharge : l’étude met en évidence la très forte complémentarité des besoins de recharge, qui ne se produisent pas au même moment, week-ends de grands départs pour les voitures et jours ouvrés pour les poids lourds. Le pic de puissance annuel est essentiellement dû aux besoins de recharge des voitures. Il y a donc un réel intérêt à mutualiser les raccordements entre ces usages, pour limiter les investissements sur le réseau électrique.
     
4/ Les investissements nécessaires sur le réseau électrique sont estimés à 630 millions € d’ici à 2035. Cette estimation (hors investissement pour les stations de recharge et l’aménagement des aires), prend en compte, de manière optimisée, la mutualisation des besoins de recharge en itinérance entre les mobilités lourde et légère. Une soixantaine de postes sources devront être renforcés ou créés : ce programme, sans difficulté technique majeure, doit être anticipé dès maintenant, compte tenu des délais de plusieurs années nécessaires à la réalisation de certains travaux.
     
5/ Les enjeux fonciers : le déploiement des infrastructures va par ailleurs réduire le nombre de places de parking pour poids lourds disponibles, engendrant de potentiels déficits de foncier. En effet, alors qu’en 2035 les poids lourds électriques longue distance ne représenteront encore que 12,5 % du parc, au moins la moitié des places de parkings poids lourds devront être équipées en points de recharge sur un quart des tronçons routiers.

Trois recommandations pour relever les enjeux de cette transition

Les conclusions de cette étude doivent permettre aux acteurs de la filière (pouvoirs publics, gestionnaires de réseau, opérateurs d'infrastructures de recharge et routières, transporteurs et logisticiens, constructeurs de poids lourds, chargeurs) d’avoir une vision et une estimation fiables, à l’échelle nationale, de la puissance, de l’énergie, du nombre de points de recharge et des travaux d’infrastructures nécessaires à l’électrification rapide du transport routier longue distance. La CSIAM[1], en tant que représentante des constructeurs internationaux présents en France, estime que cette étude est une avancée majeure devant permettre la planification des investissements dans les infrastructures de recharge en itinérance, condition nécessaire à la réussite de l’électrification des poids lourds sur la longue distance.

Au-delà de ces résultats, l’ensemble des partenaires recommandent les actions suivantes :

• Instaurer une planification et une feuille de route partagée et opposable, précisant les aménagements à réaliser sur les réseaux électriques et les infrastructures routières pour 2027, 2030 et 2035, en cohérence avec les règlementations futures (comme le règlement européen sur le déploiement des infrastructures pour carburants alternatifs) ;
       
  - Instituer des dispositifs règlementaires, administratifs et financiers permettant d’anticiper les demandes de travaux, d’accélérer les démarches administratives et d’optimiser les investissements mutualisés sur les aires, en spécifiant le rôle et les responsabilités de chaque acteur ;
       
  - Mettre en place des mesures incitatives simples et cohérentes, avec une visibilité sur le long terme, pour encourager l’investissement privé dans le développement des poids lourds électriques à batterie et dans les infrastructures de recharge.

La réalisation d’une voute parapluie par fonçage horizontal de tubes acier pour un passage souterrain sous les voies SNCF en gare de Rosny Bois-Perrier est en lice pour les 10èmes Trophées du Sans Tranchée.

Pour la réalisation d'un ambitieux projet de pose de plusieurs kilomètres de réseau d'irrigation dans les environs de Gignac (34), l'entreprise Echo TP, sous la direction de David Marchandeau, a trouvé en la société Marais (Groupe Tesmec) un partenaire de choix pour surmonter des défis techniques de taille.

Le chantier, situé dans un terrain rocheux fragmenté et massif de type Territe, présentait des difficultés considérables pour la pose d'un PEDH DN500 renforcé en barres de 12 m soudées au miroir. De plus, les délais de réalisation imposés par le donneur d’ordre exigeaient une solution efficace et rapide.

Grâce à son expertise reconnue, Marais a su relever ces défis avec brio. En optant pour la location avec opérateur d'une trancheuse ST2 à roues de 500 CH équipée de secteurs de 550 mm, le Groupe Marais a assuré une solution adaptée et performante pour trancher le terrain difficile.

L'expérience de l'opérateur, hautement qualifiés dans ce type de tranchage, a permis de garantir le respect des profondeurs et des rayons de courbure, évitant ainsi des pièces de raccordement coûteuses et potentiellement sujettes aux fuites.

Grâce à cette collaboration fructueuse et à l'efficacité des solutions apportées par Marais, le projet avance conformément aux délais prévus, offrant ainsi une réponse durable et efficace aux besoins en irrigation de la région de Gignac.

(Communiqué) Altitude Infra, Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR mettent en place des mesures exceptionnelles pour améliorer la qualité de service de plusieurs réseaux en fibre optique en Essonne : Seine Essonne, Europ’Essonne, Sequantic.

Altitude Infra, qui a acquis ces réseaux, a engagé des plans ambitieux de reprise. En complément, suite à des travaux communs coordonnés par la Fédération Française des Télécoms, Altitude Infra, Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR ont élaboré des mesures d’urgence ambitieuses et inédites pour réduire significativement les taux de pannes.

Elles reposent sur une action coordonnée sur le terrain des équipes de l’opérateur d’infrastructure et des 4 opérateurs commerciaux, au travers d’opérations « coup de poing ». Ces mesures, qui impliquent l’affectation de ressources exceptionnelles et une importante disponibilité des équipes techniques déployées de manière coordonnée, sont mises en œuvre depuis le 5 mars, avec une montée en charge progressive.

Les interventions engagées sont déterminées à partir d’une analyse par les 5 opérateurs des difficultés rencontrées, permettant ainsi d’identifier et de prioriser les actions à plus fort impact. Concrètement, Altitude Infra interviendra sur l’ensemble des boitiers concernés, avec l’appui des techniciens des opérateurs commerciaux chargés de vérifier que l’intervention a produit les résultats escomptés. Un suivi continu sera effectué dans la zone afin de confirmer l’efficacité de l’opération et d’apporter d’éventuels ajustements si nécessaire.

Les 5 opérateurs se sont fixés pour objectif de réduire de moitié le taux de pannes sur les 3 réseaux concernés dans l’Essonne d’ici septembre 2024. Cet objectif sera atteint par l’effet conjugué de trois facteurs principaux :

    La finalisation de la première vague de plan de reprise d’Altitude d’infra (SPRING 1),
    Les opérations « coup de poing » mises en place conjointement,
    Les premiers effets de la deuxième vague de plan de prise (SPRING 2).

Ilham Djehaich, directrice générale d’Altitude Infra, a déclaré : « Chez Altitude Infra, la qualité est ancrée dans notre ADN. Nous abordons avec détermination les défis rencontrés sur les réseaux de fibre optique de l'Essonne afin de garantir un service de premier ordre en partenariat avec l’ensemble des opérateurs commerciaux. Pour nous, assurer une qualité supérieure est bien plus qu'un objectif, c'est notre engagement inébranlable envers les usagers. »

Nicolas Guérin, Président de la Fédération Française des Télécoms, indique : « Les membres de la Fédération Française des Télécoms ont à cœur d’offrir la meilleure expérience client à tous nos concitoyens, particuliers et entreprises. Par cette action conjointe sur les réseaux FttH qu’Altitude Infra opère en Essonne, ils s’engagent dans une coordination innovante pour répondre concrètement aux difficultés d’exploitation rencontrées. »

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Multitel fait partie des 30 noms nominés pour participer aux Intermat Innovations Awards, avec leur nacelle MT 162 Axon et MJE 250 Axon. Nous avons été surpris par les caractéristiques de la nacelle MT 162 AXON.

La MT 162 AXON est une nacelle télescopique montée sur un camion Iveco e-Daily 35S10 Full Electric, avec un poids total en charge (PTAC) de 3 500 kg. Elle présente une hauteur de travail de 16,2 m, un déport horizontal maximal de 11,20 m avec une charge utile de 80 kg, et de 7,40 m avec une charge utile de 250 kg.

La rotation de la tourelle de 400° et le panier à auto-nivellement de 1,40 x 0,70 x 1,10 m avec rotation de 90°+90° permettent à l’opérateur de contourner d’éventuels obstacles et de se positionner avec précision sur la zone de travail. 

La nacelle MT 162 Axon assure des prestations équivalentes à celles de la version à moteur thermique. La batterie au lithium, d’une capacité de 37 kWh et une tension de travail de 400V, garantit une autonomie de 120 km. La recharge se fait au moyen du connecteur de type standard situé sur le devant du véhicule, soit en se connectant à des bornes, soit en utilisant le secteur (réseau industriel ou domestique). 

La nacelle est alimentée par un module hybride intégré, contenant une batterie au lithium de 5 kWh, avec tension de travail de 48V, le moteur électrique avec la pompe et l’électronique de gestion. Pour augmenter l’autonomie de la batterie, la nacelle se met en stand-by au bout de quelques minutes d’inutilisation, réduisant à zéro la consommation d’énergie. 

La batterie de la nacelle se recharge en même temps que la batterie du véhicule, sans utilisation d’autres câbles. Quand elle est vide, l’opérateur peut continuer à travailler en puisant l’énergie dans la batterie du véhicule, ce qui en réduit en partie l’autonomie sur route. 

La vitesse des mouvements de la nacelle est égale à celle de la version diesel, grâce à un moteur électrique à aimants permanents de 2,5 kW. 

Longue de 7.123 mm et, fermée, haute de 2.740 mm, elle est équipée de stabilisateurs dans le gabarit, avec descente verticale avant et arrière, ce qui permet de la positionner même dans des espaces restreints. 

L’alimentation Full Electric garantit une économie en matière de coûts et une pollution moindre : elle permet de circuler à toute heure en zone urbaine, sans être tributaire des restrictions en matière de circulation. Le système marche/arrêt (start/stop) situé dans le panier assure une utilisation encore plus efficiente de la nacelle et optimise la consommation. 

Le déport, avec le limiteur de moment, est fonction de la charge et garantit la sécurité des mouvements. 
EVE, l’électronique évoluée Multitel Pagliero, régule les mouvements de manière fluide et précise, grâce aussi au distributeur hydraulique « full proportional ». 
Le bras en aluminium spécialement conçu assure la rigidité et la précision des mouvements, sans flexions ni oscillations susceptibles de compromettre la précision de la manœuvre. 

L’aménagement des tuyaux et câbles à l’intérieur du bras évite le risque de dommages en cas d’obstacles ou de chute d’objets et de matériaux. La nacelle est dotée de tous les dispositifs de sécurité et de secours conformément aux règlementations en vigueur. 

Le système de télémétrie pour la communication à distance permet la localisation par GPS, l’affichage de l’état de la machine, le paramétrage et le diagnostic à distance. 

Simple d’utilisation, elle peut être employée en centre-ville, dans les zones à circulation restreinte et dans les zones sensibles pour les travaux du bâtiment, les travaux d’entretien, d’installation et de pose, de réhabilitation et nettoyage, ainsi que dans les ouvrages en laiton, l’élagage et bien d’autres activités encore.

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