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En raison des températures élevées à la fin du mois de juillet, le recours au chômage intempéries, en application d'un décret du 28 juin 2024, s'avère être une mesure efficace pour assurer la protection des salariés sur les chantiers.

En vertu d’un décret du 28 juin 2024, les épisodes de canicule sont désormais officiellement couverts par le régime d’indemnisation dédié au secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP). Cette décision, attendue depuis plusieurs mois, marque une avancée significative pour les entreprises et les salariés du secteur.

Jusqu'à présent, les intempéries ouvrant droit à une indemnisation comprenaient des conditions telles que le gel, le verglas, la pluie, la neige, et le vent fort, qui rendaient dangereux ou impossible l'accomplissement des travaux sur les chantiers. Cependant, les périodes de canicule restaient exclues de ce dispositif. Les entreprises pouvaient néanmoins faire des demandes exceptionnelles auprès de leur caisse régionale de congés intempéries BTP en cas d'activation des niveaux de vigilance orange ou rouge par Météo France, ou sur ordre préfectoral de suspension d'activité en raison de la canicule.

Désormais, avec l'entrée en vigueur du décret le 30 juin 2024, la canicule est intégrée dans la liste des conditions atmosphériques permettant de déclencher l'indemnisation des arrêts de chantier. Ce changement permet aux salariés du BTP de bénéficier d’une protection accrue en cas d’arrêt de travail dû à des températures extrêmes, garantissant ainsi leur santé et leur sécurité sur les lieux de travail.

Un arrêté du ministre chargé de l'emploi est attendu pour apporter des précisions supplémentaires concernant la définition des conditions atmosphériques couvertes par ce régime d’indemnisation. Le décret précise également les modalités de remboursement des indemnités versées par les entreprises à leurs salariés, via les caisses de congés payés, conformément à la législation sur les intempéries.

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Financement d'infrastructures de recharge et d'avitaillement : Profitez d'une offre de financement proposée par la Banque des Territoires pour la construction de bornes IRVE pour véhicules électriques, ainsi que de stations GNV et hydrogène.

Vous portez un projet d’infrastructure de recharge électrique ou d’avitaillement (GNV – hydrogène). 

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Vous êtes :

• un acteur public (Autorité organisatrice de mobilité, collectivité territoriale, etc.) ;
• un acteur privé (opérateur de flottes, opérateur de recharge, transporteur, etc.) ;
• un maître d'ouvrage (EPL, énergéticien, distributeur de carburants, etc.). 

• Votre projet d’infrastructure de recharge ou avitaillement vise à :
• construire des bornes de recharge collectives pour véhicules électriques (copropriété, voirie, etc.) ;
• construire des stations d’avitaillement hydrogène (H2) ;
• ou construire des stations d’avitaillement GNV.

Vous pouvez peut-être bénéficier de l’offre spécifique de la Banque des Territoires.  

Leur offre de financement d’infrastructure de recharge ou avitaillement, vise à accélérer la décarbonation et réduire les nuisances locales des transports (pollution atmosphérique, bruit, etc.). Elle permet ainsi de financer 3 types d’infrastructures :

• les infrastructures de recharge de véhicules électriques. L'objectif est alors d'accompagner le basculement vers les véhicules électriques en développant des bornes IRVE sur le territoire et en accompagnant le déploiement de solutions de recharge au plus proche des utilisateurs ;
• les transports GNV (gaz naturel pour véhicule) en vue de la décarbonation et la dépollution des filières logistiques. Le but est ici de basculer la filière logistique vers la mobilité GNV en finançant la construction de stations GNV et l’acquisition de poids-lourd fonctionnant au GNV ;
• les stations d’avitaillement en hydrogène. L’objectif est d’encourager à investir dans l’hydrogène en finançant la construction de stations hydrogène (H2).

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L’activité des TP en manque de souffle, selon leur Bulletin de conjoncture mensuel. En deçà des attentes du secteur, le mois de juin 2024 s’inscrit en baisse comparé à l’an dernier en termes d’activité, d’heures travaillées et d’effectifs. 

Les prises de commandes apportent néanmoins de la visibilité aux entreprises. Si au 2ème trimestre, le niveau de production TP reste globalement bon, l’activité montre quelques signes de ralentissement tandis que le 3ème trimestre s’annonce assez perturbé en raison de la période olympique ainsi que d’un climat politique instable.

En juin 2024, l’activité des Travaux Publics affiche un retrait de -2,4% en volume par rapport à juin 2023. Sur l’ensemble du 2ème trimestre, la production se replie également par rapport au trimestre précédent (-1,3%) conformément à la dégradation d’activité ressentie par les chefs d’entreprises du secteur (enquête d’opinion INSEE/FNTP). En conséquence, la hausse des facturations cumulées depuis janvier ne s’établit plus qu’à +1,1% (contre +1,9% à fin mai). Cette décélération de la croissance doit toutefois être interprétée à la lumière des contraintes climatiques auxquelles les entreprises ont pu être confrontées, notamment en mai.

Suivant une tendance comparable à celle de mai, le montant des marchés conclus en juin augmente de +10,5% en euros constants par rapport à juin 2023. Depuis février, les prises de commandes, stimulées par le lancement de grands chantiers, conservent un très bon niveau et progressent de +10,1% au 1er semestre 2024 comparé au même semestre 2023.

Heures et effectifs : En cumul sur jan-juin 2024, les heures travaillées par les ouvriers permanents et les effectifs ouvriers diminuent respectivement de -3,7% et -1,5% comparés à la même période 2023. Relativement stable l’an dernier, leur orientation est désormais à la baisse. Les intempéries, les difficultés de recrutement, le ralentissement de la croissance mais aussi la nature des travaux réalisés expliquent en partie cette diminution. En conséquence, la contrainte de main d’œuvre se relâche un peu au 2ème trimestre 2024.

Consulter la note de conjoncture

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TRACTO organise aux Pays-Bas un Roadshow pour présenter le tout premier prototype de la foreuse dirigée électrique "JCS130E GRUNDODRILL". Cet événement mettra en avant l'innovation et l'efficacité de cette nouvelle technologie, tout en soulignant son impact positif sur l'environnement.

Par le biais de ce roadshow exclusif, TRACTO s'engage à promouvoir des solutions respectueuses de l'environnement. La JCS130E GRUNDODRILL incarne cette démarche en offrant une alternative écologique et durable aux méthodes traditionnelles de construction des réseaux. En sensibilisant leurs partenaires et clients aux enjeux environnementaux, ils contribuent activement à la transition vers des pratiques plus durables et responsables.

La JCS130E GRUNDODRILL se distingue par ses spécifications techniques de pointe, faisant d'elle un choix incontournable pour les professionnels des réseaux. Dotée d'une puissance électrique impressionnante, elle offre des performances supérieures à celles des modèles traditionnels, garantissant une efficacité accrue sur le chantier.

En termes de spécifications, la JCS130E GRUNDODRILL se démarque par sa capacité à percer des sols variés avec une précision inégalée. Sa conception innovante lui confère une polyvalence exceptionnelle, lui permettant de s'adapter à divers environnements de travail. De plus, ses fonctionnalités avancées assurent une manipulation aisée et sécurisée, améliorant ainsi la productivité des équipes sur le terrain.

Les performances de la JCS130E GRUNDODRILL sont remarquables, offrant une vitesse de forage optimale et une fiabilité sans faille. Grâce à ses technologies de pointe, elle permet d'accomplir les tâches les plus exigeantes avec une efficacité remarquable, réduisant ainsi les délais de réalisation des projets.

En outre, les avantages de la JCS130E GRUNDODRILL par rapport aux modèles traditionnels sont multiples. Son fonctionnement électrifié lui confère une empreinte environnementale réduite, contribuant à la préservation de l'écosystème local. De plus, sa maintenance simplifiée et ses coûts opérationnels maîtrisés en font un investissement rentable à long terme pour les entreprises.

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Le Syndicat des eaux du Tonnerrois (Yonne) a entrepris depuis début juillet un chantier d’interconnexion d’eau potable. Ce projet ambitieux consiste à installer 12 km de canalisations entre le captage d'Argenteuil-sur-Armançon et Pasilly.

Pour réaliser cette interconnexion d'eau potable, le Syndicat des eaux du Tonnerrois (Yonne) utilise une trancheuse de la marque française Marais. Ce chantier, vital pour la région, témoigne de l’engagement du SET pour garantir une eau de qualité à ses usagers.

Créé en 2019, le Syndicat des eaux du Tonnerrois a hérité de ce dossier complexe, marqué par des problèmes qualitatifs récurrents sur le captage de Fautures à Grimault. Depuis près de dix ans, ce captage a souffert de multiples contaminations, notamment par des pesticides. Vingt-sept molécules différentes avaient été détectées, rendant les traitements en place insuffisants, surtout avec une unité d’ultrafiltration en fin de vie.

Rémi Gautheron, président du SET, souligne l’urgence de ces travaux : "Des travaux étaient plus que nécessaires". Après des études et des essais de pompage, l'interconnexion avec le captage d'Argenteuil-sur-Armançon a été préconisée dès 2018. Ce captage offre une qualité et une quantité d'eau suffisantes pour alimenter les communes de l’ex-SIAEP, représentant 558 abonnés et 36 200 m³ d'eau facturée annuellement.

La station de traitement des Fautures à Grimault était en situation critique. Rémi Gautheron se rappelle : "Nous espérions qu’elle tienne jusqu’à ce que l’interconnexion soit réalisée, mais c’était impossible de continuer comme ça". L’état de la filtration par charbon laissait l'eau arriver presque noire aux robinets de Châtel, avec des résidus de charbon actif dans les tuyaux.

Face à cette urgence, une unité de traitement provisoire des pesticides et un système d’ultrafiltration ont été installés à la station des Fautures. Bien que cette solution provisoire ait clarifié l’eau, elle a alourdi la facture de 176 000 €, en plus des 1,1 million d’euros pour l’interconnexion et les travaux associés. Cette somme, non subventionnée, est entièrement à la charge du syndicat, contrairement aux travaux initiaux soutenus par l’Agence de l’eau Seine-Normandie.

"On a tourné le problème dans tous les sens. C’est la solution la moins coûteuse à long terme et qualitativement, la meilleure que nous avons choisie," affirme Gautheron. Cette interconnexion est cruciale pour éviter une explosion du prix de l'eau qui aurait eu des répercussions inévitables sur tous les usagers. Une fois l’interconnexion achevée, le captage des Fautures pourrait être abandonné, sauf si une solution est trouvée avec d’autres communes.

L’interconnexion devrait être opérationnelle avant la fin de l’année. Comme l’a souligné un élu, "sans le SET, aucune commune ou petit syndicat des eaux n’aurait pu supporter de tels travaux". Ce projet démontre l’importance des structures intercommunales pour la réalisation de travaux d’une telle envergure, garantissant ainsi une eau de qualité pour tous les habitants de la région.

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Le Groupe Wirtgen présentera au salon NordBau de Neumünster, du 4 au 8 septembre 2024, le nouveau crible mobile MOBISCREEN MSS 502(i) EVO de Kleemann. Ce modèle impressionne par son extrême flexibilité, sa simplicité d'utilisation et son ergonomie exceptionnelle.

Le MOBISCREEN MSS 502(i) EVO de Kleemann se distingue par sa capacité à s'adapter à une variété d'applications. Grâce à sa conception modulaire, il peut être configuré pour répondre aux exigences spécifiques de différents chantiers, que ce soit dans les carrières, le recyclage de matériaux de construction ou les projets de terrassement. Sa flexibilité permet de traiter efficacement divers types de matériaux, offrant ainsi une solution polyvalente pour les entreprises du secteur de la construction.

La simplicité d'utilisation est l'un des principaux atouts du MOBISCREEN MSS 502(i) EVO. Doté d'un système de commande intuitif, il permet aux opérateurs de gérer facilement les paramètres de criblage et de surveiller les performances de la machine en temps réel. Cette convivialité se traduit par une réduction des temps d'arrêt et une augmentation de la productivité sur le chantier. De plus, les composants facilement accessibles facilitent l'entretien et les réparations, minimisant ainsi les interruptions de travail.

L'ergonomie exceptionnelle du MOBISCREEN MSS 502(i) EVO garantit un confort optimal pour les opérateurs. Les commandes sont positionnées de manière ergonomique pour un accès facile, et la conception de la machine intègre des fonctionnalités visant à réduire la fatigue de l'opérateur. Cette attention aux détails ergonomiques contribue à améliorer l'efficacité et la sécurité des opérations de criblage.

L'un des aspects les plus innovants du MOBISCREEN MSS 502(i) EVO est son option Dual Power, qui permet à la machine d'être entièrement alimentée par électricité. Cette caractéristique non seulement réduit les coûts opérationnels liés à la consommation de carburant, mais elle améliore également la durabilité environnementale de la machine. En réduisant les émissions de CO2 et en minimisant l'empreinte écologique, le MOBISCREEN MSS 502(i) EVO s'inscrit parfaitement dans les efforts continus de l'industrie pour promouvoir des pratiques plus durables et respectueuses de l'environnement.

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VEOLIA, le géant de la gestion des déchets, de l'énergie et de l'eau, a annoncé des résultats « historiques » pour le premier semestre 2023. Sous la direction d'Estelle Brachlianoff, le chiffre d'affaires a grimpé de 14,2% à 22,7 milliards d'euros, avec un Ebitda en hausse de 8,2% à 3,16 milliards d'euros.

La directrice générale a souligné que ces performances reflètent le dynamisme commercial et l'excellence opérationnelle de l'entreprise.

La branche « eau » de Veolia se distingue par de nombreux nouveaux contrats, notamment avec l'agglomération autour de Perpignan pour la gestion de l'eau potable et des eaux usées. Veolia vise à réduire les fuites dans les réseaux d'eau grâce à l'intelligence artificielle, abaissant les fuites de 20% à 12%. Thierry Trotouin, directeur d'offre pour les eaux usées, a confirmé que Veolia travaille étroitement avec les collectivités pour optimiser la gestion des ressources en eau. Depuis l'été dernier, Veolia a installé 50 unités de réutilisation de l'eau et prévoit d'en déployer 200 d'ici fin 2024. Ces systèmes permettent de recycler les eaux usées pour des usages tels que le nettoyage des voiries et l'arrosage des espaces verts.

Grâce au rachat de Suez, Veolia bénéficie de l'expertise accumulée par Agbar en Espagne. Les synergies de coûts issues de cette acquisition ont déjà dépassé 350 millions d'euros, avec un objectif de 500 millions pour l'année. Estelle Brachlianoff est confiante quant aux objectifs futurs du groupe, notamment grâce aux solides performances en Amérique du Nord, où Veolia a signé un contrat de 58 millions de dollars avec Samsung pour son usine de semi-conducteurs à Austin, au Texas.

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Vossloh France SAS, .a signé un accord avec TowerBrook Capital Partners L.P. concernant l'acquisition du groupe Sateba. Sateba, dont le siège social est à Paris, est l'un des principaux fabricants de traverses en béton en Europe et a élargi son portefeuille ces dernières années pour inclure d'autres composants d'infrastructure ferroviaire et produits connexes. 

Avec environ 1 120 employés et un total de 19 sites de production dans dix pays européens, Sateba dispose d'une capacité de production d'environ quatre millions de traverses de voie et d'appareils de voie par an. Au cours de l'exercice en cours, l'entreprise prévoit un chiffre d'affaires d'environ 340 millions d'euros, y compris le fabricant belge de traverses en béton De Bonte récemment acquis.

Vossloh dispose déjà d'une vaste expérience dans le secteur des traverses en béton sur les marchés nord-américain et australien. Avec l'acquisition prévue de Sateba, Vossloh élargit également son portefeuille en Europe. Dans le même temps, Vossloh renforce sa compétence système pour la voie ferrée, qui est essentielle pour offrir des solutions sur mesure et innovantes pour une plus grande disponibilité des voies aux clients. Avec plus de cent ans d'expertise, Sateba jouit d'une excellente réputation et est depuis longtemps un partenaire commercial important et de confiance de Vossloh dans les domaines des aiguillages et des systèmes de fixation. Une fois la transaction finalisée, Vossloh étendra également sa présence et sa portée auprès des clients dans les principaux pays européens. L'unité commerciale Tie Technologies, dans laquelle le groupe Sateba sera intégré, deviendra ainsi l'un des principaux fabricants mondiaux de traverses en béton, avec un chiffre d'affaires annuel de plus de 500 millions d'euros.

« L'acquisition prévue de Sateba constitue une nouvelle étape importante dans la mise en œuvre de notre stratégie d'entreprise. Nombre de nos clients sont confrontés au défi majeur de fournir une capacité de réseau suffisante pour le transfert prévu du trafic vers le rail. Grâce à notre gamme unique de produits et services innovants et de pointe et à notre vaste expertise dans tous les domaines de la voie ferrée, nous pouvons leur fournir un soutien complet. Nos clients ont besoin de partenaires solides à leurs côtés pour atteindre l'objectif politiquement et socialement souhaité d'une mobilité ferroviaire plus durable. Des partenaires solides comme Vossloh », explique Oliver Schuster, PDG de Vossloh AG. Il ajoute : « Sateba est l'un des leaders de notre secteur en matière de technologie et d'innovation et un pionnier dans la décarbonisation des traverses en béton. De la conception des traverses à l'utilisation de types de ciment optimisés en termes d'émissions, en passant par l'utilisation de matériaux de base recyclés, la durabilité est au cœur des préoccupations. Cela soutient notre propre stratégie de durabilité conséquente et nous en bénéficierons également sur les marchés hors Europe. Je me réjouis d'accueillir mes nouveaux collègues dans l'équipe une fois que toutes les autorisations nécessaires auront été accordées. »

La transaction prendra la forme d'une opération d'achat d'actions. Le prix d'achat (valeur d'entreprise) pour l'acquisition de la société devrait s'élever à 450 millions d'euros. Ce prix d'achat comprend la réalisation d'une acquisition en cours par Sateba de l'ordre de 25 millions d'euros. Sur la base de l'EBITDA attendu pour l'exercice 2025, cela se traduit par un multiple compris entre 7 et 8. La transaction sera financée au moyen d'un financement relais et d'un prêt à long terme. Le financement relais serait principalement remplacé par une dette à long terme. Sous réserve de conditions de marché appropriées, Vossloh a également l'intention de financer la transaction par une augmentation de capital hors droits de souscription d'un maximum de 10 % du capital social actuel. L'actionnaire majoritaire de Vossloh AG a déclaré qu'il était en principe disposé à soutenir une telle augmentation de capital par une participation au moins proportionnelle à sa participation actuelle de 50,09 %.

Dr. Thomas Triska, CFO de Vossloh : « Après la finalisation de la transaction, Sateba aura un impact positif sur le bénéfice par action et soutiendra la réalisation des objectifs de rentabilité à long terme du groupe Vossloh. Outre les activités courantes de Sateba, la réalisation progressive des potentiels de synergies identifiés y contribuera également. Vossloh vise à long terme une marge EBIT à deux chiffres dans le groupe. En outre, le ratio dette financière nette/EBITDA devrait rester bien inférieur à 2,75 après la mise en œuvre.»

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Nouveau logo pour OUEST TP : un symbole de son évolution constante et de son engagement envers l'innovation. Fondée en 2012, OUEST TP s'est rapidement imposée comme un acteur incontournable dans le domaine des travaux de construction et de réhabilitation des réseaux d'eau potable et d'assainissement dans le Grand Ouest.

OUEST TP est reconnu pour son expertise en tant que canalisateur spécialisé. À la pointe de l'innovation, l'entreprise est membre de l'organisation professionnelle "Les Canalisateurs", et détient la certification Qualibat 1552 "Traitement de l’amiante-Génie Civil et Terrains Amiantifères". Cette certification témoigne de leur compétence dans le traitement des matériaux dangereux, un gage de sécurité et de fiabilité pour leurs clients. L'entreprise accompagne aussi bien les acteurs publics que privés dans la réalisation et l'entretien des infrastructures essentielles.

L'innovation est au cœur des opérations de OUEST TP. L'entreprise s'est spécialisée dans les travaux sans tranchées, une technique qui permet de minimiser les perturbations en surface tout en renouvelant les réseaux gravitaires et sous pression. Grâce à un parc matériel performant, ils sont également capables de réaliser des travaux avec utilisation de trancheuses et de mener des opérations de criblage et de traitement des matériaux sur site. Ces techniques avancées assurent une efficacité et une qualité optimales des travaux réalisés.

En janvier 2024, OUEST TP a dévoilé un nouveau logo, symbole de son évolution continue et de son engagement à innover. La nouvelle charte graphique sera progressivement déployée tout au long de l'année sur l'ensemble des supports de communication de l'entreprise, des véhicules aux courriers. Ce changement marque une nouvelle étape dans l'histoire de OUEST TP, reflétant son dynamisme et son adaptation constante aux besoins de ses clients.

Avec une décennie d'expérience, OUEST TP continue de se distinguer par son professionnalisme et sa capacité à répondre aux défis contemporains des infrastructures d'eau potable et d'assainissement. Le renouvellement de son identité visuelle est une illustration de sa volonté de rester à la pointe de l'innovation et de l'excellence.

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Le maître d'ouvrage du tunnel transfrontalier (Lyon-Turin)  a invité les parties prenantes à présenter les mesures pour un chantier exemplaire, en mettant l'accent sur la sécurité et la durabilité, avec pour priorité la sécurité des travailleurs.

Faire des chantiers de la nouvelle section transfrontalière de la ligne ferroviaire Lyon-Turin un laboratoire de l’innovation environnementale dans le secteur des grands travaux : c’est pour promouvoir cet objectif que TELT, le promoteur binational du projet, a réuni, ce 30 juillet, à Paris, les grandes entreprises internationales qui construisent le tunnel de base du Mont-Cenis.

Les engagements et les actions prévues sur les chantiers ont été rassemblés dans le document "Engagement sur les chantiers de la ligne ferroviaire Lyon-Turin" qui a été présenté lors de cette première réunion du Lyon-Turin engagement Forum à la Casa Italia, le pavillon italien aux Jeux Olympiques de Paris 2024 qui sont précisément consacrés au thème de la durabilité.

Les engagements pris par les entreprises au sein du Pacte d'Intégrité et de Durabilité qui régit les contrats entre TELT et ses entreprises partenaires se traduisent en actions concrètes et ce Forum accompagnera l'évolution du projet au cours des prochaines années pour être à la fois un rendez-vous de discussion et de mise à jour des objectifs de durabilité que se fixeront les parties prenantes de l’ouvrage, et de suivi des actions mises en œuvre.

Aux côtés des managers de TELT, les responsables de 11 entreprises de construction et de sociétés d'ingénierie impliquées dans les dix sites de construction du projet étaient présents. Chacun a pu exposer, sous la modération de Erika Vaniglia, CEO du Collège des Ingénieurs de Turin, ses initiatives en matière de protection de l'environnement et d'économie circulaire, de sécurité des travailleurs, de maximisation de l'impact territorial et de lutte contre la corruption.

Au cours de la matinée, Olivier Gil, responsable de la communication du réseau français du Pacte mondial des Nations Unies, auquel TELT participe depuis 2015, a rappelé que seul un véritable effort commun sur les Dix principes du Pacte mondial permet d'aboutir à une économie mondiale durable.

Un message fort qui a également été rappelé en vidéo par Herald Ruijters, directeur général adjoint de la direction générale de la mobilité et des transports de la Commission européenne. Dans son introduction de la présentation du document d’engagement, il a souligné que ce Forum "est un pas dans la bonne direction pour rendre les investissements dans les infrastructures de transport plus respectueux de l'environnement".

Daniel Bursaux et Maurizio Bufalini, président et directeur général de TELT, ont rappelé que "face à la progression des chantiers, qui culminera dans les prochaines années avec 7 tunneliers en activité et plus de 4 000 travailleurs directs, il est urgent de fédérer les entreprises autour des thèmes de la durabilité et de la sécurité au travail : nos chantiers sont un défi, mais ils sont aussi une occasion incontournable de mettre en place des pratiques qui feront référence dans le monde des grandes infrastructures"

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La dernière enquête de conjoncture réalisée par EVOLIS auprès de ses membres confirme le ralentissement de l’activité des industriels en 2024. Cependant, la situation n’est pas identique pour tous les secteurs.

Les industriels dans le secteur des matériels pour la construction ont ainsi revu à la baisse leur prévision de chiffre d’affaires. Celui-ci devrait reculer de -7,2% en 2024 (contre une prévision à -6% en décembre 2023). Le carnet de commandes continue également de s’affaiblir. Les industriels sont pessimistes quant à l’évolution des marchés européens et, dans une moindre mesure, français.

Dans le secteur des équipements de manutention, les entreprises interrogées ont également revu leur évolution de chiffres d’affaires à la baisse. Ainsi, les industriels tablent sur une augmentation de leur activité en valeur de +2,1% (contre une prévision à +5% en décembre 2023). Bien que les carnets de commande semblent être à un niveau proche de la normale, les industriels notent une baisse des prises de commande, particulièrement en France et en Europe.

Concernant les équipements industriels, la prévision des industriels sur le chiffre d’affaires reste inchangée par rapport à la dernière enquête : +1,7% en 2024. Le carnet de commandes reste en dessous de la moyenne. Cependant, les industriels semblent plutôt optimistes par rapport aux marchés européens (Union Européenne et Europe hors UE).

Enfin, c’est sur le secteur des équipements fluidiques que les industriels sont les plus optimistes. La prévision d’évolution du chiffre d’affaires a augmenté de plus de 1 point, passant de +2% à +3,4%. Cette progression est surtout tirée par une vision plus optimiste de l’activité à l’export (de +1% à +3,6%), notamment en Amérique (Nord et Sud).

Les industriels tous secteurs confondus perçoivent encore des difficultés de recrutement.

Ces difficultés se retrouvent en particulier sur des postes nécessitant des déplacements (commerciaux, techniciens SAV, …), mais aussi sur des profils pour la production ou les bureaux d’études.

Pour les quatre secteurs, certains marchés semblent plus porteurs pour l’exportation des équipements. L’Amérique du Nord, et surtout les Etats-Unis, les pays du Maghreb, l’Europe, l’Asie (Inde) et le Proche et Moyen-Orient sont les régions les plus citées par les industriels.

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Le Groupe Familial et Indépendant Roger Martin continue de tracer sa voie vers l'excellence et l'innovation en annonçant l'acquisition stratégique de la Société Charollaise de Travaux Publics (SCTP). Cette opération, qui marque une étape importante dans l'expansion du groupe, vise à renforcer son expertise dans le domaine des réseaux secs et humides.

Fondée en 1976, la SCTP est reconnue pour son savoir-faire en matière de réseaux humides (eau potable, eaux usées et eaux pluviales) et réseaux secs (gaz, électricité, télécommunications et éclairage public). La société, dont le siège social est situé à Paray-le-Monial, en Saône-et-Loire (71), réalise un chiffre d'affaires annuel de 9 millions d'euros et emploie 57 collaborateurs répartis sur quatre sites : Paray-le-Monial (71), La Chapelle Saint-Ursin (18), Lorris (45), et Belleville-en-Beaujolais (69).

L'intégration de SCTP permet à Roger Martin de consolider son maillage local, notamment dans les régions Bourgogne-Franche-Comté et Centre-Val de Loire. Cette acquisition vient renforcer la filiale SNCTP du groupe, déjà spécialisée dans les réseaux, en apportant des compétences complémentaires et une présence géographique accrue.

Avec cette opération, Roger Martin confirme son engagement à offrir des solutions innovantes et durables à ses clients. En renforçant son expertise en matière de gestion des réseaux, le groupe est désormais mieux positionné pour accompagner ses partenaires dans leur transition écologique. Cette acquisition témoigne de la volonté de Roger Martin de se développer tout en restant fidèle à ses valeurs familiales et indépendantes, en investissant dans des compétences locales et en valorisant le savoir-faire régional.

Le président de Roger Martin, enthousiaste quant à cette acquisition, déclare : "Nous sommes ravis d'accueillir les équipes de SCTP au sein de notre groupe. Leur expertise et leur ancrage local sont des atouts précieux qui vont nous permettre de répondre encore plus efficacement aux besoins de nos clients et de contribuer activement à la transition écologique des territoires où nous sommes présents."

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