18/11/2024
Pour la 14ᵉ année consécutive, Numeum et EY ont dévoilé, le 14 novembre 2024, les résultats du Top 250 des éditeurs de logiciels français. Cette édition a recueilli les témoignages de 265 entreprises sur leur situation économique et leurs ambitions.
L’activité des éditeurs de logiciels français, en croissance de 7,6 %, fait preuve d’une belle résistance face à la crise. Ce dynamisme est d’autant plus remarquable que les PME et ETI du secteur affichent des hausses à deux chiffres en 2023, avec 85 % des éditeurs ayant enregistré une croissance supérieure à celle de l’année précédente.
Aujourd’hui, les éditeurs de logiciels français relèvent un nouveau défi : l’intelligence artificielle, qui devient une priorité technologique pour 74 % d’entre eux.Parmi eux, 40 % intègrent déjà des fonctionnalités d’IA générative dans leurs offres, tandis que 42 % envisagent de le faire dans les deux prochaines années. Ce rythme d’adoption, bien qu’impressionnant, devra encore s’accélérer pour rester compétitif à l’échelle mondiale et anticiper les transformations à venir des modèles économiques.
Dans cette dynamique d’investissement soutenu en R&D, il devient essentiel de préserver les dispositifs de financement de l’innovation au niveau national, car le logiciel est appelé à jouer un rôle central dans l’adoption des IA génératives pour l’ensemble de notre économie.
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Alors que 86 % des éditeurs privilégient la facturation par abonnement, DICT Services se distingue avec un modèle basé sur l’usage, mettant l’excellence client au centre de sa stratégie. Cette approche les encourage à innover en permanence pour répondre aux attentes spécifiques de leurs clients !
18/11/2024
Face à des défis de financement sans précédent dans le secteur de l'eau, le projet de loi de finances 2025 suscite de vives inquiétudes. Les agences de l’eau sont lourdement ponctionnées, ce qui provoque l'indignation de l'UIE et des Canalisateurs.
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Les acteurs de la construction du secteur de l’eau attendaient tout particulièrement le Projet de Loi de Finances (PLF) pour 2025 en raison de son impact sur les ressources financières des Agences de l’eau, acteur clé du financement de l’eau en France. Le Plan eau a été érigé comme une priorité de la planification écologique du Gouvernement. Pourtant, ce même Gouvernement a décidé de perpétuer la mauvaise habitude consistant à se servir sur les recettes des Agences de l’eau pour alimenter le budget de l’État.
Le financement des Agences de l’eau promis au Plan eau reporté d’un an
La loi de finances pour 2024 prévoyait en effet une hausse du plafond des recettes de Agences de l’eau de 175 millions d’euros pour l’année 2025, par rapport à 2024. Or le PLF 2025 reporte l’affectation de ces 175 millions d’euros supplémentaires à 2026, conservant ainsi le plafond « mordant » au même niveau qu’en 2024, soit 2,3 milliards d’euros vs les 2,5 milliards d’euros promis par le Plan eau. Rappelons que le système dit du plafond mordant consiste à fixer un montant maximum de recettes pour les Agences de l’eau, tout ce qui se situe au-delà du plafond étant directement reversé au budget de l’État.
Un amendement « surprise », nouvel hold-up sur les Agences de l’eau
De plus, parmi les 18 amendements déposés par le Gouvernement actuellement en cours d’examen, l’amendement n° I-3340 propose un prélèvement exceptionnel de 130 millions d’euros sur la trésorerie des Agences de l’eau.
La contribution annuelle des Agences de l’eau fléchée vers l’OFB encore en hausse
Par ailleurs, la contribution des Agences de l’eau à l’Office Français de la Biodiversité (OFB) continue d’augmenter. Le PLF 2025 s’inscrit dans cette tendance, prévoyant une contribution des Agences de l’eau comprise entre 418 et 465 millions d’euros, contre 402 millions d’euros en 2024.
À l’heure où le Gouvernement a présenté le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-3) qui prévoit un renforcement du Plan eau, ces diverses ponctions et contributions, en parfaite incohérence avec la volonté politique affichée, sont autant de promesses non tenues.
Elles font fi du principe fondateur et vertueux de la politique de l’eau en France, par le biais de la redevance, « l’eau paye l’eau », sachant que l’eau paye aussi la biodiversité et, pire, participe au budget général de l’Etat via le plafond mordant et ce projet de ponction sur la trésorerie des Agences de l’eau.
Elles diminuent les ressources pour les collectivités locales, vitales pour leur permettre de s’adapter au changement climatique, alors qu’un déficit annuel de 4,6 milliards d’euros d’investissement dans le domaine de l’eau a été pointé par la récente étude commandée par l’UIE.
Enfin, elles mettent potentiellement à mal la solidarité urbain-rural, un principe de péréquation pour lequel les Agences de l'eau sont un vecteur fort.
Alors que les moyens alloués dans le cadre du Plan eau sont déjà insuffisants pour faire face au nécessaire renouvellement de nos infrastructures, et aux enjeux de quantité et qualité de la ressource, le financement de l’eau se retrouve donc encore amputé d’une partie de ses ressources.
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17/11/2024
Et si l’hypothèse d’un enfouissement des câbles de la future ligne très haute tension (THT) redevenait envisageable pour les 65 kilomètres traversant le Gard et les Bouches-du-Rhône, en remplacement des 180 pylônes de 60 mètres de haut ?
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Le 27 septembre, dans les salons de la préfecture de la région Paca à Marseille, le préfet Christophe Mirmand et RTE, gestionnaire du réseau électrique français, ont dévoilé le tracé de la future ligne très haute tension (THT) entre Jonquières-Saint-Vincent et la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer.
Ce projet, qualifié de "moindre impact", prévoit l’installation de 180 pylônes de 60 mètres de haut sur un parcours de 65 kilomètres traversant le Gard et les Bouches-du-Rhône, avec une mise en service envisagée fin 2028.
Cependant, l’annonce a suscité une vive opposition de la part des élus et des agriculteurs du Gard, qui dénoncent le choix d’une infrastructure entièrement aérienne, au détriment d’un enfouissement même partiel. Ils pointent notamment les impacts environnementaux et économiques de ce projet.
La controverse s’est intensifiée après que RTE a annoncé, le 5 novembre, une commande de 5 000 kilomètres de câbles souterrains pour près d’un milliard d’euros. Bien que ces câbles soient conçus pour des tensions allant jusqu’à 400 000 volts, RTE a précisé qu’ils ne concernent pas la ligne Jonquières-Fos, mais visent plutôt à accompagner la transition énergétique dans des zones industrielles comme Dunkerque et Fos-sur-Mer.
Christophe Berassen, directeur du développement ingénierie chez RTE, explique que l’enfouissement des lignes à 400 000 volts reste techniquement complexe, bien que des efforts soient prévus pour réduire l’impact global du réseau. Ainsi, pour chaque kilomètre de ligne THT aérienne installé, un kilomètre de lignes à moyenne tension sera enfoui. Dans le Gard, cela se traduira par l’enfouissement de 100 kilomètres de lignes à 60 000 volts d’ici 2023, diminuant par quatre le nombre de pylônes dans les communes concernées.
Malgré ces engagements, les opposants restent sceptiques. Leur mobilisation se poursuit, et l’issue de ce bras de fer reste incertaine.
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17/11/2024
L'enquête nationale, réalisée du 30 juin au 13 septembre 2024 pour l'Union Nationale des Syndicats Professionnels de Construction et d'Entretien des Réseaux Secs (SNER), regroupant l'ensemble des SRER et des SIRER, est disponible.
L'enquête nationale SNER/SRER 2024 a été réalisée par la CERC Auvergne-Rhône-Alpes. L'enquête a été menée auprès des entreprises adhérentes au SNER, préalablement sensibilisées. En 2024, 183 entreprises y ont répondu.
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En 2024 et pour la 3ème année consécutive, la situation de la trésorerie des entreprises se dégrade : près des 2/3 des entreprises déclarent une trésorerie en bonne santé, soit un recul de - 5pts par rapport à l’an passé. En corollaire, un tiers des entreprises estiment désormais que leur trésorerie est en mauvaise santé (7% en très mauvaise santé). Ce niveau diffère selon la taille de l’entreprise avec une trésorerie davantage dégradée pour les PME que pour les TPE.
Après un repli en 2023, la visibilité des entreprises sur le court terme s’améliore légèrement : les carnets de commandes se regarnissent avec 17 semaines d’activité consécutives en moyenne (+1,6 semaine). 14% des entreprises bénéficient d’au moins 6 mois d’activité consécutive (vs 12% en 2023). A l’inverse et comme l’an passé, près de la moitié des entreprises disposent de carnet de commandes ininterrompu de moins de 3 mois.
Le volume de carnets de commandes d’activité consécutive varie fortement d’une région à l’autre. Ainsi, moins de 12 semaines sont enregistrées en moyenne en Alsace. A l’inverse, les carnets de commandes excèdent les 20 semaines dans quatre régions : Occitanie, Normandie, Franche- Comté et Bourgogne.
Dans la continuité des années précédentes, les carnets de commandes d’activités programmées se garnissent et atteignent 27,7 semaines en moyenne en 2024 (+3,6 versus 2023). Ce sont désormais près d’un tiers des entreprises qui bénéficient d’au moins 6 mois d’activités programmées (32% ; +5 pts en un an).
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14/11/2024
Le groupe de construction et de concessions Eiffage a enregistré au troisième trimestre 2024 un chiffre d’affaires consolidé de 5,9 milliards d’euros, marquant une progression de 7,7 % par rapport à la même période en 2023.
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Ce résultat se décompose en une hausse de 7,9 % dans les Travaux et de 7,0 % dans les Concessions. Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d’affaires consolidé d’Eiffage atteint 17,0 milliards d’euros, soit une augmentation de 6,8 % à structure réelle et de 3,6 % à périmètre et change constants (pcc).
Travaux : Un dynamisme accentué à l'international
Le secteur des Travaux a enregistré un chiffre d'affaires de 14,0 milliards d’euros à fin septembre, en hausse de 7,0 % (3,5 % pcc) par rapport à 2023. Près de 40 % de cette activité s'est réalisée hors de France, contre 36 % en 2023. Par segment :
Le carnet de commandes total des Travaux a grimpé de 31 % sur un an, pour atteindre 28,8 milliards d’euros.
Concessions : une activité en progression malgré des contrastes
Dans les Concessions, le chiffre d’affaires s’élève à 2,96 milliards d’euros (+6,1 %). Parmi les principaux indicateurs :
Ensemble, ces résultats confirment la dynamique de croissance d’Eiffage dans ses segments clés, portée par une stratégie d’internationalisation et des projets d’infrastructures de grande envergure.
13/11/2024
Résultats de l’enquête trimestrielle d’opinion FNTP/INSEE sur le marché intérieur : En octobre 2024, le climat des affaires dans les travaux publics s’assombrit nettement : les entrepreneurs se montrent plus pessimistes qu’en juillet, aussi bien sur leur activité future, que sur l’évolution de leurs effectifs ou leurs carnets de commandes. Le solde d’opinion sur l’activité passée rebondit fortement, par contrecoup du mois de juillet.
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En octobre 2024, l’opinion des entrepreneurs sur leur activité prévue au cours des trois prochains mois se dégrade. Le solde d’opinion correspondant recule nettement et repasse juste au-dessous de sa moyenne de long terme. Pour les entrepreneurs distinguant leur type de clientèle (qu’elle soit publique ou privée), les soldes d’opinion se détériorent également, de manière un peu plus prononcée auprès de la clientèle privée.
En revanche, le solde d’opinion sur l’activité passée rebondit fortement et retourne à un niveau quasi identique à sa moyenne de longue période. Ce rebond s’explique en partie par un effet de contrecoup par rapport à juillet, qui avait enregistré une forte baisse de l’activité passée, en raison notamment de mauvaises conditions climatiques au deuxième trimestre. Les soldes d’opinion des entrepreneurs sur l’activité passée par type de clientèle rebondissent également : le rebond du solde relatif à la clientèle publique est moins fort par rapport à celui sur la clientèle privée, alors que tous deux s’étaient dégradés de manière comparable lors du trimestre précédent.
L’incertitude économique ressentie par les entrepreneurs des travaux publics augmente de nouveau. Les carnets de commandes sont jugés un peu moins remplis qu’en juillet En octobre 2024, le solde d’opinion relatif au niveau des carnets de commandes des entrepreneurs du secteur se replie et se rapproche de sa moyenne de long terme.
Les perspectives d’emploi se dégradent légèrement En octobre 2024, le solde d’opinion sur l’évolution des effectifs au cours des trois prochains mois se dégrade légèrement. Son niveau demeure cependant nettement supérieur à sa moyenne de longue période.
Les difficultés liées à l’insuffisance de personnel sont un peu plus souvent évoquées En octobre 2024, 37% des d’entreprises signalent des difficultés liées au manque de main-d’œuvre, une part en légère hausse et qui reste nettement au-dessus à sa moyenne de longue période. Celle des entreprises déclarant faire face à des contraintes de demande progresse de nouveau également : à 45%, elle s’établit largement au- dessus de son niveau moyen
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13/11/2024
Le 8 novembre 2024, Strasbourg a accueilli le premier "Sommet européen de l'hydrogène", réunissant des acteurs politiques, industriels et académiques d'Europe. Cet événement, organisé au siège de la région Grand Est, a confirmé la position de Strasbourg en tant que centre de coopération sur l'hydrogène. L’ouverture a été marquée par des interventions de Patrick Hetzel, Franck Leroy, Dr. Andre Baumann et Samuel Bouju.
L’initiative de ce sommet revient à Pascal Houssais, président de l’association strasbourgeoise "H2Strasbourg". Depuis trois ans, cet événement est soutenu par des personnalités telles que Tobias Gotthardt, secrétaire d'État bavarois aux affaires économiques, et Vincent Thiébaut, député de Haguenau, qui œuvrent pour rapprocher la région Grand Est et la Bavière dans ce domaine stratégique. De nombreux partenaires, comme "Pôle véhicule du futur", "3h2", "Trion Climat", "GRK Médias", le MEDEF et l’ADEME, ont contribué à l’organisation de ce sommet. L’intérêt international était palpable, avec la présence de représentants du consulat général des États-Unis et du consul général du Japon, Hiroyuki Uchida.
François Werner, vice-président de la région Grand Est, a introduit la première table ronde, axée sur la production d’hydrogène, après une présentation de Philippe Boucly, président de France Hydrogène. Cette discussion a montré que la France, l'Allemagne et la Suisse partagent une vision commune sur le développement de l'hydrogène. Philippe de Donato et Jacques Pironon, chercheurs du CNRS et de l’université de Lorraine, ont présenté les possibilités de production à partir de découvertes récentes, comme le gisement naturel d’hydrogène à Folschviller, en Lorraine. Robert Szolak de l’Institut Fraunhofer en Allemagne et Christelle Rouillé, directrice de Hynamics (filiale d’EDF), ont exprimé leur intérêt pour un partenariat franco-allemand.
Dr. Dirk Mulzer des IWB à Bâle a évoqué une approche transfrontalière nécessaire, mais limitée par l’absence d’accords-cadres. Ralph Dassonville, d'Alpiq, a partagé son point de vue suisse, tout en évoquant ses projets de production en Suisse et en Finlande. Tous s’accordent sur l’importance d’une coopération européenne, qui permettrait d’accélérer le développement du secteur.
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Le secrétaire d'État bavarois Tobias Gotthardt a ouvert la deuxième table ronde, consacrée aux applications industrielles de l’hydrogène, en soulignant son rôle crucial dans la décarbonation de l'industrie lourde et de la mobilité. Le coût de l'hydrogène reste cependant un frein à une adoption massive, un point confirmé par Dr. Fabian Pfaffenberger de H2Bayern et Isabelle Knüttgen du Bade-Wurtemberg, représentants de près de 600 entreprises engagées dans le secteur de l’hydrogène. Charles Foncin, de la SNCF, et Dr. Stefan Gossens du groupe Schaeffler ont présenté des projets en cours, notamment dans le domaine de la mobilité, en rappelant que l'hydrogène, bien qu'essentiel, ne sera pas la seule solution.
La dernière table ronde, introduite par le député Vincent Thiébaut, portait sur le transport et le stockage de l’hydrogène, des éléments cruciaux pour garantir la sécurité et l’efficacité de cette source d’énergie. Daniel Mercer, directeur de Storengy, a exposé les possibilités de stockage dans des cavités salines, tandis que la professeure Tabea Arndt du KIT a présenté l’état de la recherche sur le transport. Geoffrey Anger de GRTGaz et Maria Hagen de badenovaNETZE ont détaillé les projets d'infrastructure visant à relier la région du Rhin supérieur pour un meilleur acheminement de l'hydrogène.
Le public a pu constater la motivation de ces acteurs à renforcer la coopération. Tous sont conscients que des avancées plus rapides et efficaces sont possibles en unissant les forces. Ce premier sommet a clairement inspiré une dynamique positive pour l'avenir de l'hydrogène en Europe.
Sylvain Waserman, président de l'ADEME, a clôturé la journée en exprimant sa gratitude envers les organisateurs et en soulignant l’importance de l'engagement de la société civile dans ce secteur. Comme l’a également rappelé Patrick Hetzel, la mobilisation de toutes les parties prenantes, qu’elles soient politiques, académiques ou industrielles, est cruciale pour assurer le succès de cette transition énergétique.
Fort du succès de cette première édition, un second "Sommet européen de l’hydrogène" est déjà prévu pour 2025. À l'image de ce sommet inaugural, il rassemblera des acteurs européens pour favoriser un dialogue ouvert et ambitieux autour de l’hydrogène, une source d'énergie qui pourrait transformer durablement l’industrie européenne et contribuer significativement à la transition énergétique du continent.
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Kvyreen, filiale du Groupe H2Energy, propose des bornes de recharge écologiques et des générateurs électriques mobiles à hydrogène, offrant une énergie propre sans installations électriques, pour réduire les émissions de carbone.
Avec l'essor des énergies renouvelables et la nécessité de réduire les émissions de carbone, Kvyreen, filiale de H2Energy, se place à l'avant-garde des solutions de recharge écologiques grâce à l'hydrogène. Spécialisée dans les bornes de recharge mobiles, Kvyreen offre une gamme innovante conçue pour recharger tout type de véhicule, qu'il s'agisse de voitures, de camions ou d'engins de travaux publics.
L'un des principaux avantages des bornes de recharge à hydrogène de Kvyreen est leur mobilité. Où que vous soyez, que ce soit sur un chantier ou en déplacement, nos bornes mobiles vous permettent de recharger rapidement vos véhicules sans interrompre vos activités. Cette flexibilité est particulièrement utile pour les entreprisesdans les secteurs du transport et de la construction, où les besoins de mobilité et de rapidité sont primordiaux. Cliquez-ici pour consulter la brochure
En plus des bornes de recharge, Kvyreen propose également des générateurs électriques mobiles à hydrogène. Ces générateurs offrent une alternative efficace aux installations électriques traditionnelles, vous faisant gagner du temps tout en simplifiant l'alimentation de vos équipements. Ils constituent une solution propre, fiable et facile à déployer, idéale pour les chantiers éloignés ou les environnements difficiles d'accès. Cliquez-ici pour consulter la brochure
Les solutions de Kvyreen se démarquent par leur simplicité d'installation et leur capacité à recharger rapidement. Mais ce qui les rend véritablement uniques, c'est leur impact environnemental nul. En utilisant l'hydrogène comme source d'énergie, ces bornes et générateurs fonctionnent sans émettre de carbone, contribuant ainsi à la protection de l'environnement tout en répondant aux exigences énergétiques modernes.
Kvyreen, avec ses bornes et générateurs à hydrogène, incarne l'avenir de la recharge mobile et de l'alimentation énergétique. Que vous soyez sur un chantier ou en déplacement, nos solutions vous garantissent une alimentation fiable, rapide et propre, permettant ainsi de poursuivre vos activités sans interruption tout en respectant l'environnement. Avec Kvyreen, la mobilité verte devient une réalité.
12/11/2024
Maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, bureaux d’études, exploitants de réseaux, entreprises, ingénieurs et techniciens, France Sans Tranchée Technologies (FSTT) vous invite à découvrir ou approfondir vos connaissances sur les techniques de travaux sans tranchée, c’est-à-dire la pose ou la réhabilitation de réseaux enterrés sans ouverture de tranchée.
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Ces techniques, en constante évolution, permettent de réaliser des travaux neufs ou de réhabilitation de canalisations.
Grâce à son 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 𝗱𝗲 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 dispensées 𝗽𝗮𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗲𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻, vous pourrez acquérir :
Des connaissances sur :
La FSTT est habilitée à la formation professionnelle sous le n°11.75.56.99.675. Le financement de ces formations peut donc être sollicité en totalité ou partie auprès de l’organisme de formation collecteur (OPCA) en mentionnant le numéro d’habilitation. La FSTT fournit la convention et l’attestation de stage.
Vous souhaitez des informations ou vous inscrire à une formation, contactez :
𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗶𝗮 𝗣𝗥𝗘𝗔𝗨 : Tél. 01 53 99 90 20 Tél. P. 06 28 42 27 02 E-mail : 𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗶𝗮.preau@fstt.org
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08/11/2024
En tant que leader de la détection des réseaux enterrés en France, Detect Réseaux souhaite marquer sa présence de manière significative au Salon des Maires et des Collectivités Locales, événement incontournable du secteur des travaux publics et de l’aménagement du territoire.
Ce salon, qui se tiendra du 19 au 21 novembre à Paris - Porte de Versailles – est l’occasion idéale pour mettre en avant l’expertise et les solutions innovantes de l'entreprise dans un domaine crucial : la détection des réseaux souterrains.
La détection précise des réseaux enterrés est un élément essentiel dans la planification et la réalisation des travaux publics. En effet, de nombreux chantiers sont perturbés par l'incertitude liée à la localisation des réseaux souterrains, tels que les canalisations d'eau, les câbles électriques ou encore les tuyaux de gaz. La méconnaissance de l’emplacement exact de ces infrastructures peut entraîner des retards considérables, des coûts supplémentaires pour les collectivités, voire des incidents graves, comme des ruptures de canalisations ou des accidents liés à des câbles sous tension.
Pour prévenir ces risques et garantir la sécurité des chantiers, une détection fiable et en temps réel des réseaux enterrés est essentielle. Detect Réseaux met ainsi à disposition des solutions de pointe qui permettent d’identifier, de localiser et de cartographier avec précision les réseaux souterrains, assurant ainsi une gestion optimisée des travaux.
Leur présence au Salon des Maires et des Collectivités Locales s’inscrit donc dans cette logique de valorisation des solutions de détection et de géoréférencement des réseaux enterrés. Ils y présenterons des technologies avancées qui permettent non seulement une détection rapide et précise, mais aussi une intégration efficace des données dans des systèmes de cartographie, pour une gestion encore plus optimisée des infrastructures publiques.
La géoréférencement des réseaux enterrés permet notamment de créer des bases de données précises, accessibles par les collectivités locales et les professionnels des travaux publics. Cela permet de visualiser en temps réel l’emplacement des réseaux souterrains et de planifier les travaux en toute sécurité, tout en réduisant les risques d’incidents et les surcoûts.
Leur participation à cet événement témoigne également de l'engagement constant de toutes leurs agences en faveur de la sécurité, de l’efficacité et de la qualité des projets de construction et d'infrastructure en France. En tant que pionniers dans le domaine de la détection des réseaux enterrés, ils ont à cœur d’offrir des solutions qui améliorent la performance des chantiers tout en garantissant la sécurité des équipes et des riverains.
En collaborant avec des collectivités locales et des professionnels du secteur, ils œuvrent pour une meilleure gestion des infrastructures publiques et une réduction des risques liés aux travaux souterrains.
Retrouvez-les au Salon des Maires et des Collectivités Locales, qui se tiendra à Paris du 19 au 21 novembre, sur le stand K68, Pavillon 3. Venez découvrir leurs solutions innovantes, échanger avec leurs experts et explorer comment Detect Réseaux peut contribuer à la réussite de vos projets d’infrastructure et à la sécurisation de vos chantiers.
06/11/2024
Le Groupe Bouygues a annoncé un chiffre d'affaires de 41,5 milliards d'euros pour les neuf premiers mois de 2024, dépassant légèrement au-dessus des prévisions, grâce aux performances d'Equans et Bouygues Construction.
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Equans et Bouygues Construction, ont respectivement généré 14,1 milliards d’euros (+3 %) et 7,57 milliards d’euros (+5 %), ce chiffre d’affaires souligne la solidité de ses branches de services énergétiques et de construction.
Dans un environnement économique et géopolitique complexe, Bouygues reste optimiste et a confirmé ses objectifs financiers pour l’année, visant une légère croissance du chiffre d’affaires et du résultat opérationnel courant des activités (ROCA) par rapport à 2023.
Le bénéfice net de janvier à septembre 2024 s’élève à 687 millions d’euros, en hausse par rapport aux 665 millions d’euros enregistrés sur la même période l’an passé. Le ROCA a également progressé, atteignant 1,72 milliard d’euros, soit une amélioration de 96 millions d’euros en un an.
Au niveau opérationnel, la marge des neuf premiers mois s’est améliorée de 0,1 point, s’établissant à 4,1 %, tandis que le chiffre d’affaires total a progressé de 2 % à taux de change et périmètre constants.
Le consensus publié sur le site de Bouygues indiquait que les analystes attendaient un chiffre d'affaires de 41,39 milliards d’euros et un ROCA de 1,63 milliard d’euros pour les neuf mois, des prévisions que le groupe a légèrement dépassées.
06/11/2024
L'entreprise familiale CHARIER a acquis, le jeudi 31 octobre 2024, les sociétés S3A, 2LTP et TERREXO, spécialisées respectivement dans les domaines des réseaux d'eau, de l’entretien de fossés et du désamiantage. Ce rachat permet à CHARIER de renforcer sa présence sur son territoire historique en proposant une offre plus complète.
Dirigées depuis 2015 par Jérôme ANTOINE et Sébastien RENAULT au sein du Groupe EXODON, ces trois entités ont su se distinguer sur leur marché et s'imposer comme des acteurs reconnus de leur secteur. Basées à Trignac, près de Saint-Nazaire (44), elles ont intégré l’Entreprise CHARIER le 31 octobre 2024.
S3A est spécialisée dans les travaux d’assainissement, d’alimentation en eau potable (AEP) et de réseaux fibrés.
2LTP est un acteur reconnu dans le domaine très spécialisé du curage de fossés et de l’entretien d’ouvrages hydrauliques.
TERREXO est qualifiée pour tous travaux de désamiantage réseaux ou bâtiment.
Ce sont au total 70 personnes qui rejoignent l’Entreprise CHARIER en cette fin d’année.
Après le rachat de la société mayennaise FTPB, spécialisée dans les travaux d’assainissement et d’alimentation en eau potable, en 2023, cette nouvelle acquisition permet à CHARIER de renforcer son expertise dans le métier des réseaux pour répondre de manière plus globale aux besoins du territoire.
S3A, 2LTP et TERREXO sont des partenaires fiables et de longue date de CHARIER. Nous avons de nombreuses références en commun, dont récemment le chantier de BHNS Hélyce sur la communauté de Saint-Nazaire Agglo. » souligne Jean VIDAL, Président du Directoire de l’Entreprise CHARIER.
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06/11/2024
En octobre 2024, la fédération MAIAGE (Maintenance Industrielle, Assainissement, Gestion Environnementale) a tenu son congrès annuel à l’hôtel Le Normandy à Deauville, un cadre prestigieux pour cet événement professionnel. Plus de 150 participants de toute la France ont répondu à l’appel, assurant le succès de cet événement.
Cette édition a permis aux dirigeants d’entreprises du secteur de se retrouver pour la Journée Technique Nationale (JTN), un moment clé du congrès. Au programme : des échanges autour de thèmes actuels, tels que l’intégration de l’intelligence artificielle dans les métiers de l’assainissement et de la maintenance. Catherine Jarosz de l’INRS France a également captivé l’audience avec un guide pratique sur l’utilisation des aspiratrices excavatrices.
Une assemblée générale centrée sur l’engagement des membres
Après la JTN, l’assemblée générale fédérale a permis de faire le point sur les actions en cours. Cet exercice a renforcé la cohésion des adhérents, qui se sont montrés engagés dans le développement de nouveaux outils pour surmonter les défis du secteur, notamment en matière de formation professionnelle (CQP) et de réutilisation des eaux usées traitées (REUT).
Yann Madeline réélu : des projets ambitieux pour le futur
Année d’élections, 2024 a également vu la réélection de Yann Madeline à la présidence de MAIAGE. Pour ce nouveau mandat, les priorités incluent la formation, l’innovation via l’intelligence artificielle, la cybersécurité et l’harmonisation des normes européennes.
MAIAGE : près de 100 ans d’engagement auprès des professionnels
Avec presque un siècle d’existence, MAIAGE s’est affirmée comme un pilier du secteur de l’assainissement et de la maintenance industrielle. La fédération, basée sur des valeurs de proximité, autonomie, convivialité, utilité et fiabilité, évolue au fil des besoins de ses adhérents pour soutenir activement la profession.
Un programme dynamique pour clôturer le congrès
Après l’ouverture officielle par Yann Madeline, le congrès s’est poursuivi avec une journée rythmée par des formations, démonstrations et témoignages. Les échanges se sont poursuivis lors de la deuxième journée, consacrée aux Assemblées Générales statutaires de MAIAGE et des syndicats, offrant une vision claire des futures actions pour le secteur.
Un congrès qui confirme l’élan d’un secteur en pleine évolution
Ce congrès annuel reste un moment phare pour l’ensemble du secteur, consolidant la solidarité et le dynamisme des professionnels face aux enjeux environnementaux et technologiques.
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