CHANTIERS

En décembre 2024, EDF Archipel Guadeloupe et le Syndicat Mixte d’Électricité de la Guadeloupe (Symeg) ont lancé un projet ambitieux d’enfouissement du réseau électrique en moyenne tension sur l’île de Marie-Galante. Ce chantier, d’une durée de deux ans, vise à renforcer la résilience du réseau face aux aléas climatiques, en particulier les cyclones, tout en contribuant à l’embellissement paysager de l’île.

Ce chantier, d’un montant estimé à environ 5 millions d’euros, a pour objectif l’enfouissement de 34 km de lignes électriques. Cela représente 85 % du réseau électrique en moyenne tension de l'île, un progrès significatif pour la sécurité énergétique de Marie-Galante. L’objectif est de réduire les risques liés aux tempêtes et cyclones qui frappent régulièrement l’archipel, en protégeant les installations électriques des intempéries.

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Le projet inclut également une dimension esthétique, car il permettra de retirer les anciens poteaux électriques de la ligne aérienne, contribuant ainsi à améliorer le paysage naturel de l’île. Ces travaux permettront de minimiser les coupures de courant dues aux conditions météorologiques extrêmes, tout en offrant une meilleure qualité de service à la population.

Les travaux sont menés par l’entreprise locale LARNEY ET FILS, une société de construction qui a choisi d'utiliser la trancheuse MARAIS GD2, un matériel performant permettant de creuser les tranchées nécessaires à l’enfouissement du câble. Cette machine permet de trancher les bas-côtés à une profondeur d’un mètre, où seront installés les câbles électriques de nouvelle génération. Ces câbles sont conçus pour durer au minimum 40 ans, garantissant ainsi la durabilité du réseau pour plusieurs décennies.

Pour Marie-Line Bassette, la directrice générale d’EDF Archipel Guadeloupe, ce projet représente un pas important vers un réseau plus résilient face aux événements climatiques violents. « L’enfouissement des lignes électriques est essentiel pour garantir une continuité de service en période de cyclones. Cela permettra non seulement de sécuriser le réseau, mais aussi de répondre aux attentes des habitants en termes de qualité de service et d’esthétique », a-t-elle déclaré.

EDF Guadeloupe, qui assure le service public de l’électricité pour l'archipel de la Guadeloupe ainsi que pour les îles du Nord (Saint-Martin, Saint-Barthélemy), est un acteur clé dans ce projet.

Le Symeg, quant à lui, joue un rôle de coordination et d’accompagnement pour les 32 communes de Guadeloupe dans la gestion du réseau d’électricité et la transition énergétique.

En conclusion, l’enfouissement de 34 km de réseau électrique à Marie-Galante représente une avancée majeure dans la modernisation du réseau énergétique de l’île, contribuant à sa résilience face aux aléas climatiques, tout en améliorant son esthétique et sa durabilité.

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L’entreprise Cegelec, en charge de l’enfouissement d’une ligne moyenne tension pour Enedis sur la commune de Cayres (Haute-Loire), s’est vu offrir par Enedis l’opportunité d’enterrer d’autres réseaux et de déployer la fibre optique.  

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Une collaboration étroite entre ces acteurs permet d’optimiser le chantier et d’éviter des interventions ultérieures sur les chaussées récemment rénovées. Cette démarche s’inscrit dans une logique d’optimisation des infrastructures avant la réfection des voiries.

103 poteaux supprimés sur 5 km

Au total, 10 km de dédoublement de la ligne moyenne tension seront réalisés en souterrain, tandis que 5 km actuellement aériens sont en cours d’enfouissement, permettant ainsi la suppression de 103 poteaux : 39 poteaux en béton et 64 poteaux en bois.

Une approche concertée pour éviter les ouvertures répétées

Pour la commune de Cayres, cette opération représente une occasion unique de planifier les travaux en synergie avec Enedis et Cegelec. L’objectif est d’éviter des interventions successives qui nécessiteraient de rouvrir des chaussées récemment rénovées.

Ce chantier, qui témoigne d’une coopération efficace entre les différents intervenants, permettra d’améliorer les infrastructures locales tout en garantissant la pérennité des aménagements réalisés.

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Un projet de parc éolien, d’une capacité annuelle de 36 GWh, porté par un collectif de 168 citoyens regroupés au sein d’une société, devrait entrer en service en mai 2025 sur la commune de Martigné-Ferchaud, en Ille-et-Vilaine.

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L’investissement total s’élève à 24 millions d’euros, financé principalement par un emprunt bancaire, avec une contribution citoyenne de 520 000 €. Le site aura une capacité de production annuelle de 36 gigawattheures (GWh), soit l’équivalent de 45 % des besoins énergétiques de la communauté de communes.

Un financement hybride et collaboratif : Le projet a été lancé par les 168 citoyens de la société après que la zone a été classée en « zone de développement éolien ». Leur objectif était de conserver la valeur générée localement. Le financement du projet est complété par des partenaires institutionnels, tels que le syndicat départemental d’énergie Energ’iV et le mouvement Énergie Partagée, qui soutient les initiatives citoyennes dans le domaine des énergies renouvelables. Deux mâts ont déjà été installés, un troisième est en cours d’assemblage, et un quatrième est en attente.

Une dynamique nationale en plein essor : D’après Énergie Partagée, 16 parcs éoliens citoyens sont actuellement en fonctionnement en France, avec deux projets en cours et 22 en développement. Selon l'Agence de la transition écologique (Ademe), la stabilité des revenus est un atout pour les investisseurs, bien que la rentabilité ne soit pas l’objectif principal. L’ancrage local, le renforcement des compétences territoriales et la création d’emplois sont parmi les principaux avantages perçus par les porteurs de projets.

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Communiqué : Celtic Interconnector, le projet de liaison électrique en courant continu porté par RTE et son homologue EirGrid, franchit un cap important dans sa réalisation avec la livraison de la partie génie civil de la station de conversion électrique située en Bretagne, dont la conception et la direction des travaux ont été pilotées par Arcadis.

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Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, est heureuse d’annoncer la livraison des lots génie civil de la station bretonne de conversion électrique en courant continu (HVDC - High Voltage Direct Current) du projet Celtic Interconnector, porté par CIDAC (joint-venture RTE/EirGrid), qui vise à permettre un échange direct d'électricité entre la France et l'Irlande. En tant que maître d’œuvre, Arcadis avait la mission de concevoir et de superviser les travaux de la station (côté français) pour la partie génie civil, pour le compte de Siemens Energy, contractant général responsable de la conception et de la réception de l’ouvrage.

Essentielles à la réalisation d’un avenir énergétique durable, les stations HVDC, situées sur la côte nord de la Bretagne et sur la côte sud de l’Irlande, transformeront le courant alternatif des réseaux électriques en courant continu. Elles seront reliées entre elles par un câble de 575 km, dont environ 500 km sous la mer. 

D’une capacité de 700 MW, la liaison électrique, une fois mise en service, prévoit d’alimenter près de 450 000 foyers en France et en Irlande. Elle permettra de renforcer la sécurité et la fiabilité de l’approvisionnement en électricité, d’intégrer davantage d’électricité issue des énergies renouvelables dans le réseau et de réduire le coût de l’électricité. Elle contribuera également à renforcer la solidarité électrique entre les deux pays en cas d’incidents. « Les pics de consommation ne sont pas forcément les mêmes en France et en Irlande. Partager le réseau permet d’envoyer l’énergie là où il y a un besoin, et donc de renforcer la sécurité d’alimentation électrique. » déclare Johan Pavie, Directeur développement bâtiment au sein d’Arcadis. 

La station HVDC est constituée de plusieurs bâtiments ayant chacun leur fonction : conversion électrique, commande et contrôle des convertisseurs. Leur conception et réalisation s’est appuyé sur un contrôle qualité particulièrement avancé. « Le niveau d’exigence d’une station HVDC s’apparente à celui d’une centrale nucléaire. Les enjeux économiques et de sécurité sont tels que le principal défi de notre mission était de répondre à un très haut niveau de qualité. » déclare Stéphane Casolari, Chef de projet au sein d’Arcadis.

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Afin d’enrichir notre article du 19 mars 2025 sur le chantier réalisé par GRDF à Terminiers (Eure-et-Loir), nous relayons la publication d'Arnaud BARDIN, Directeur Commercial TP d'Elydan, concernant les tourets gaz enrubannés. 

(Publication) Juste avant Noël, les équipes d'Elydan étaient mobilisées pour produire le premier touret test en version enrubannée, intégrant une technologie innovante de soudure par ultrason. Cette avancée majeure dans le processus industriel constitue un gage de performance et de durabilité.

Après plusieurs semaines d'optimisation et de validation, la production en série a été lancée avec succès. Fin février, les premiers tourets issus de la ligne d'extrusion ont quitté les installations pour rejoindre Terminiers (28), marquant ainsi une étape significative dans l'évolution des solutions techniques d'Elydan.

Sur le terrain, la mise en œuvre a été confiée aux équipes de Bouygues Energies & Services, Jérôme TP et François BEUZIT, sous la supervision de GRDF. La stabilité parfaite du géotextile sur le tube a permis une pose en trancheuse fluide et efficace, confirmant ainsi la pertinence de cette nouvelle technologie.

Ce succès repose sur un processus industriel abouti, développé par les équipes techniques et de production d'Elydan. La robustesse de l'enrubannage garantit une mise en œuvre optimisée et contribue activement à la fiabilité des infrastructures souterraines.

Les efforts de la direction technique et des collaborateurs en production jouent un rôle essentiel dans cette avancée. Leur engagement et leur expertise participent non seulement à la satisfaction des clients, mais aussi à l'accompagnement de la transition énergétique en réduisant l'empreinte carbone des chantiers.

Cette innovation illustre parfaitement la volonté d'Elydan d'innover au service d'une performance durable.

Notre article diffusé le 19 mars 2025

À Terminiers, dans le département d'Eure-et-Loir, GRDF innove avec son premier chantier « bas carbone », intégrant une approche plus respectueuse de l’environnement. L’opération repose notamment sur l’utilisation du touret gaz MPC 160, une solution innovante enrubannée directement en usine, permettant de réemployer in situ les terres excavées et ainsi de limiter l’impact écologique des travaux.

Le chantier vise à raccorder une unité de production de biométhane exploitée par Terrénergies 360. Cette installation produira 20 gigawatt-heures (GWh) de gaz vert par an, soit l’équivalent de la consommation énergétique annuelle de 5 000 logements neufs. Une avancée significative pour le territoire, qui contribue à l’essor des énergies renouvelables et à la transition énergétique locale.

Un raccordement de 16 km en partenariat avec des experts du secteur

Pour mener à bien ce projet ambitieux, GRDF s’est entouré de partenaires expérimentés. Le raccordement de 16 km est réalisé en collaboration avec Bouygues Energies & Services, JEROME TP et FRANÇOIS BEUZIT, ce dernier assurant la pose en trancheuse. Le chantier est mené sous l'orchestration d’Henri Demange, de l’ingénierie locale de GRDF.

L’entreprise FRANÇOIS BEUZIT s’appuie sur une trancheuse Marais GD2, un équipement hautement performant permettant l’ouverture et la pose mécanisée simultanée des réseaux en milieu rural. Grâce à sa roue de tranchage, cette machine garantit :

✅ Une grande précision dans l’ouverture des tranchées, bien au-delà du gabarit de la machine ;
✅ Une productivité élevée, assurant un déploiement rapide des infrastructures ;
✅ Une maîtrise des coûts et une optimisation des ressources ;
✅ Une profondeur de tranchée constante, adaptée à tout type de sols.

FRANÇOIS BEUZIT, un acteur reconnu dans le domaine des réseaux

Avec plus de 40 ans d’expérience, l’entreprise FRANÇOIS BEUZIT est un acteur majeur des travaux de pose mécanisée et propose une gamme complète de services à l’échelle nationale :

🔹 Pose mécanisée de réseaux secs et humides : HTA, fibre optique, gaz, AEP, refoulement et autres ;
🔹 Forage dirigé et encorbellement ;
🔹 Location de trancheuse avec chauffeur ;
🔹 Études de projet et récolements géoréférencés.

Une avancée vers un réseau gazier plus durable

Ce chantier illustre la capacité d’innovation de GRDF et de ses partenaires dans la mise en œuvre de solutions plus respectueuses de l’environnement. Grâce à l’intégration du biométhane et à des pratiques de construction plus durables, ce projet s’inscrit pleinement dans la dynamique de la transition énergétique et du développement des énergies renouvelables en France.

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La Métropole européenne de Lille a attribué au Groupement Étamine, composé de SYSTRA, Ingérop, Transitec, Gautier+Conquet puma, Richez_Associés et Lavigne & Chéron, la maîtrise d’œuvre du nouveau tramway du pôle métropolitain de Lille et sa couronne ainsi que de la ligne de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) Lille – Villeneuve d’Ascq.

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Le programme Extramobile, qui vise à transformer les mobilités dans la Métropole Européenne de Lille (MEL) à l’horizon 2035, se compose de nouvelles lignes structurantes et performantes afin de renforcer l’accessibilité et le report modal vers les transports publics.

Le groupement Étamine a remporté deux marchés de maîtrise d’œuvre de ce programme :

• Le tramway du pôle métropolitain de Lille et sa couronne, attribué au Groupement ÉTAMINE, composé de SYSTRA (Mandataire), Ingérop, Transitec, et des cabinets d’architectes Gautier+Conquet puma, Richez_Associés et Lavigne & Chéron;
• Le BHNS Lille - Villeneuve d’Ascq, attribué au Groupement ÉTAMINE, composé de SYSTRA, Ingérop (mandataire), Transitec, des cabinets d’architectes Gautier+Conquet puma et Richez_Associés.

Un tramway et une ligne de BHNS au service de 290 000 habitants

La ligne de tramway du pôle métropolitain de Lille et sa couronne a pour but d’opérer une mutation des mobilités, de mieux connecter les communes de la métropole tout en améliorant le cadre de vie de la métropole lilloise. Avec un tracé long de 25 km, elle sillonnera des quartiers urbains denses ainsi que des secteurs à fort potentiel de développement et d’aménagement urbain avec environ 47 stations implantées au sein de 11 communes : Wambrechies, Marquette-Lez-Lille, Saint-André-Lez- Lille, Lambersart, La Madeleine, Lille, Loos, Haubourdin, Faches-Thumesnil, Wattignies et Templemars. Les quartiers desservis rassemblent environ 180 000 habitants et 136 000 emplois, et accueillent jusqu’à 36 000 écoliers et étudiants dans un rayon de 500 mètres autour de la ligne.

Le BHNS Lille – Villeneuve d'Ascq reliera les communes de Lomme, Lille, Hellemmes, Lezennes, Villeneuve d’Ascq et Sainghin-en-Mélantois voire Loos et Sequedin au moyen d’environ 36 stations, et sera en correspondance avec les réseaux de métro, tramway et bus. 

Il permettra la desserte de près de 112 000 habitants et 136 000 emplois, tout en offrant de nouvelles connexions aux équipements métropolitains tels qu’EuraTechnologies, le Stade Pierre Mauroy, le campus Cité scientifique de Villeneuve d'Ascq, ou encore le Parc scientifique de la Haute Borne.

L’objectif de ces projets est d’accompagner la transformation urbaine et d’améliorer le cadre de vie, tout en recherchant une exemplarité environnementale et sociétale via une démarche d’écoconception.

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Le printemps est enfin là, et avec lui, le lancement des chantiers de construction de piscines ! Vous souhaitez creuser votre piscine rapidement et proprement ? Avez-vous pensé à louer une aspiratrice-excavatrice avec opérateur ?

Pourquoi choisir une aspiratrice-excavatrice pour votre piscine ?

Les aspiratrices-excavatrices offrent de nombreux avantages par rapport aux engins classiques :

• Idéales pour les espaces restreints : Que ce soit dans un petit jardin ou en milieu urbain, elles sont plus maniables que les engins traditionnels.

• Adaptées aux terrains difficiles : Elles peuvent opérer sur des terrains en pente ou difficiles d'accès, là où même les mini-pelles ne passent pas.

• Travail propre et efficace : Grâce à leur tuyau d'aspiration, elles déblayent les matériaux en passant par l'intérieur des pièces sans aucun dégât, garantissant un chantier propre.

• Évacuation simplifiée des déblais : La terre aspirée est directement stockée dans la benne du camion, facilitant le transport et réduisant la dispersion sur le chantier.

• Moins de nuisances : Contrairement aux pelles mécaniques, elles génèrent moins de bruit et de vibrations, limitant ainsi l'impact pour les riverains.

• Efficacité en toutes conditions : Même par temps humide, elles continuent à fonctionner là où d'autres engins risquent de s'embourber.

• Précision accrue : Parfaites pour creuser à proximité des fondations, murs, arbres ou autres structures sensibles.

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DAUDET ÉLECTRICITÉ, basée à Crespian, dans le département du Gard, a récemment organisé une matinée d’échanges autour d’un chantier bas carbone, réunissant de nombreux acteurs engagés dans la transition écologique. 

Cet événement a réuni des élus locaux ainsi que des représentants de la FRTP Occitanie, de la FFB (Fédération Française du Bâtiment), du Territoire d’Énergie du Gard, de la CESML, de CapINGE et d’Enedis.

La rencontre a débuté par un moment de convivialité autour d’un petit-déjeuner, suivi d’une présentation du projet par M. Julien Daudet. Les participants ont ensuite visité le chantier du Syndicat d’Électricité du Gard à Crespian, où plusieurs initiatives concrètes en faveur de la décarbonation ont été mises en avant :

• L’usage d’engins, de véhicules et d’outils électriques pour limiter les émissions.
• Une gestion optimisée des déblais, avec leur réutilisation via le centre de recyclage Green-D à Vauvert.
• L’amélioration des pratiques environnementales dans le secteur du BTP afin de réduire l’empreinte carbone.

Dans un contexte où les travaux publics sont les premiers consommateurs de ressources minérales et mobilisent 50 % des matières premières en France, cette approche bas carbone représente un enjeu stratégique.

DAUDET ÉLECTRICITÉ applique des mesures responsables tout au long du projet :

• Préparation et réunions de chantier : recours à des véhicules électriques ou hybrides.
• Terrassement et génie civil : utilisation d’engins et d’outils électriques.
• Raccordements électriques et mises en service : limitation des déplacements, tri des déchets et emploi de nacelles hybrides.
• Recyclage et gestion des déchets : valorisation de 80 % des matériaux via Green-D.

Les organisateurs remercient chaleureusement l’ensemble des participants pour leur présence et leur engagement en faveur de cette transition écologique. Un remerciement particulier est adressé à :

• V2V TP et M. Jérôme Chamoux pour la présentation des engins électriques.
• Groupe HAMECHER Mercedes-Benz et M. Maxime Dijon pour la démonstration des véhicules et camions électriques.
• Objectif Gard pour leur couverture médiatique de l’événement.

Aspiratrices-excavatrices

La Métropole du Grand Nancy a une nouvelle fois accordé sa confiance au groupe NGE en lui attribuant le marché d’entretien du réseau d’eau potable et d’assainissement. Titulaire sortant depuis 12 ans à travers sa filiale SLD TP, NGE a su valoriser son expertise en présentant une candidature commune de deux de ses filiales, SLD TP et Sade, pour garantir une gestion optimale du cycle de l’eau.

Ce marché à bons de commande, reconductible annuellement, peut s’étendre jusqu’à 8 ans et couvre l’ensemble du territoire du Grand Nancy, soit 142 km² et près de 257 000 habitants. Il englobe divers types de travaux : la réalisation d’installations neuves, la réparation et l’amélioration du réseau d’eau potable et d’assainissement.

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L’association entre SLD TP et Sade permet de renforcer les ressources humaines et matérielles afin d’assurer un service performant et réactif. La synergie entre ces entités favorise une meilleure rotation des équipes et garantit une satisfaction optimale des exigences du marché. Une attention particulière est portée aux interventions d’urgence avec un service d’astreinte opérationnel 24h/24 et 7j/7.

Lors de ces interventions, une équipe de trois à quatre personnes doit pouvoir se rendre sur site en moins d’une heure avec l’ensemble du matériel nécessaire (mini-pelle, camion) pour effectuer des réparations sur le réseau d’assainissement ou préparer le terrain pour permettre la remise en état des canalisations d’eau potable par la régie de la Métropole.

L’ensemble du personnel mobilisé est hautement qualifié et formé. Tous les intervenants possèdent une Autorisation à Intervenir à Proximité des Réseaux (AIPR), certification délivrée par des organismes de formation agréés comme Plate Forme, le centre de formation de NGE.

Le marché comprend une variété d’opérations allant de l’entretien courant à des travaux de plus grande ampleur. Les interventions concernent des canalisations de diamètres variés, de 20 mm à 1,20 m, ainsi que des opérations ponctuelles telles que l’installation de bornes d’incendie, le remplacement de tampons ou la réalisation de nouveaux branchements d’assainissement. Des travaux plus complexes, comme le renouvellement complet du réseau d’une rue, peuvent également être entrepris, souvent dans des conditions d’accès restreint.

Sébastien STREIFF, directeur d’agence SLD TP, région Grand Est, exprime sa satisfaction quant au renouvellement de ce contrat :

"C’est avec une très grande satisfaction que nous avons appris que nous étions à nouveau retenus pour ce marché exigeant, témoignant ainsi de la qualité du travail de nos équipes au quotidien."

Ce renouvellement illustre l’engagement de NGE et de ses filiales dans l’excellence opérationnelle et la continuité du service public, garantissant ainsi aux habitants du Grand Nancy un accès fiable et performant à l’eau potable et à l’assainissement.

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Le Groupe Detect Réseaux s'est imposé comme un acteur incontournable dans la localisation et le géoréférencement des ouvrages enterrés. Ce succès repose en grande partie sur la performance et l'engagement de ses franchisés, qui bénéficient d'un modèle solide et structurant. Quels sont les facteurs expliquant cette réussite ?

Un cadre réglementaire favorable

Depuis la mise en place du décret n° 2011-1241 et de la norme AFNOR NF S70-003, les investigations complémentaires sont devenues obligatoires pour les réseaux sensibles mal localisés. Cette réglementation génère une demande constante pour les services proposés par les franchisés de Detect Réseaux, assurant ainsi une activité pérenne et en croissance.

Un marché en pleine expansion

Le secteur de la détection des réseaux enterrés, estimé à plus de 750 millions d'euros par an, offre un fort potentiel aux entrepreneurs intégrant la franchise. Cette dynamique permet aux franchisés de bénéficier d'une demande croissante et d'opportunités commerciales nombreuses.

Une concurrence encore peu structurée

Contrairement à de nombreux acteurs de petite taille, les franchisés de Detect Réseaux s'appuient sur un rayonnement national, des outils performants et une stratégie de communication efficace. Ces atouts permettent un développement rapide et une implantation durable sur leurs territoires respectifs.

Un savoir-faire technique et une marque forte

Chaque franchisé bénéficie d'une formation approfondie garantissant une qualité de service optimale. Intégrer le réseau Detect Réseaux signifie rejoindre une enseigne reconnue, profitant d'un accompagnement constant, d'une formation continue et d'un partage d'expériences enrichissant. Cette synergie favorise la montée en compétences et la satisfaction des clients.

Un accompagnement sur-mesure et une innovation permanente

Detect Réseaux propose à ses franchisés un accompagnement personnalisé, des outils de gestion performants et un soutien marketing efficace. L'investissement dans des équipements de pointe permet d'améliorer la précision des détections et d'offrir un avantage concurrentiel significatif. Cette approche innovante assure aux franchisés une compétitivité durable sur le marché. Le siège social de Detect Réseaux, situé à Vénissieux, près de Lyon, regroupe les fonctions de support, administratives, RH, communication, commerce et direction générale. L'entreprise soutient ses agences et franchises depuis 2012.

Un modèle économique rentable

Le modèle de franchise repose sur une demande stable et récurrente, garantissant un retour sur investissement rapide et une croissance durable. Les franchisés bénéficient ainsi d'une activité sécurisée et d'un développement structurant.

Conclusion

Le succès des franchisés de Detect Réseaux repose sur un marché porteur, une expertise technique pointue, un accompagnement sur-mesure et une innovation constante. Ces atouts font de ce réseau un acteur majeur du secteur et offrent aux franchisés des perspectives de croissance prometteuses.

Cliquez ici pour être recontacté et en savoir plus sur la franchise Detect Réseaux.

Kumler+Matter SA, filiale de Colas Rail, s'est vu confier par les Chemins de fer fédéraux suisses (CFF) un contrat de 30 millions d'euros pour le renouvellement de l'ensemble des caténaires des infrastructures ouest de la gare centrale de Berne. 

Il s'agit de prendre en charge l'ensemble des travaux caténaires du projet « Bern West », qui fait partie d'une série de travaux visant à augmenter la capacité de trafic de ce nœud ferroviaire.

Prévus entre 2025 et 2036, les travaux seront réalisés tout en maintenant la circulation des trains :

• Le réaménagement de l'infrastructure ferroviaire à l'ouest de la gare de Berne, notamment par la création d'un nouveau tunnel ferroviaire sous les voies existantes afin de minimiser les situations de croisement pour les trains circulant entre la gare de Berne et l'Europaplatz ; 

• Le renouvellement des installations du dépôt d'Aebimatt afin qu'il puisse accueillir et stocker des trains de passagers supplémentaires, afin de libérer de l'espace à la gare de Berne ;

• La création d'une nouvelle gare de transport de voyageurs (Bahnhof Europaplatz Nord) pour la BLS SA (Bern-Lötschberg-Simplon) en remplacement de l'actuelle gare de Stöckacker.

Kummer+Matter réalisera les travaux de renouvellement et de mise en service de l'infrastructure caténaire des CFF et de la BLS SA pour l'ensemble des sous-projets, soit plus de 80 phases de travaux et configurations de trafic, le montage de plus de 850 supports, l'installation de 275 portiques rigides et le déploiement d'environ 29 km de nouvelle caténaire ; la conception, la fourniture et l'installation de 1. 7 km de caténaire rigide dans le nouveau tunnel d'Holligen, ainsi que la construction et la mise en service de cinq nouvelles sous-stations de distribution par phases (environ 100 unités de commutation à installer, de manière temporaire ou permanente). 

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Depuis le 12 février, la Régie des Eaux de Montpellier Méditerranée Métropole a lancé une nouvelle phase de travaux dans le quartier des Closades. Cet ambitieux projet vise à moderniser les infrastructures d'assainissement en supprimant l'ancien poste de refoulement "Les Closades", devenu obsolète, et en prolongeant le réseau d'eaux usées avec une canalisation en grès raccordée gravitairement au poste de refoulement "Clapiers".

Un chantier aux multiples défis techniques et environnementaux

Ce projet présente plusieurs défis de taille. La pose de canalisations à une profondeur de six mètres impose l'utilisation de tranchées blindées sur une distance de 170 mètres, ainsi que l'installation de regards sur mesure. Le choix du grès comme matériau principal se justifie par sa longévité exceptionnelle, estimée à 80 ans, et sa résistance aux gaz présents dans le réseau d'assainissement.

Dans une démarche de préservation du milieu naturel, un fonçage horizontal de 50 mètres est réalisé sous un cours d'eau, afin de limiter l'impact des travaux sur l'environnement.

Gestion optimisée des déblais et impact environnemental réduit

Un autre enjeu majeur de ce chantier concerne la gestion des déblais, avec près de 3 000 m³ de terres excavées. Une partie de ces terres est réutilisée pour le remblaiement, ce qui permet de limiter l'impact environnemental des travaux et de réduire les volumes de transport de matériaux.

La maîtrise d’œuvre a été confiée à LS Ingénierie

Dirigée par Dimitri Soares, l'entreprise LS Ingénierie est spécialisée dans les domaines de la gestion de l’eau et des déchets, de la structure et des infrastructures. Le projet a été suivi par Didier Fedieu. 

Une exécution rigoureuse confiée à EHTP du Groupe NGE

L'agence de l'entreprise EHTP, dirigée par Arnaud Bataille, est en charge de la réalisation de ce chantier, mobilisant une équipe de sept à neuf personnes. Grâce à leur expertise et à une organisation efficace, le projet progresse à un rythme soutenu, avec une avancée de 28 à 30 mètres de réseau posés chaque semaine. 

Cette avancée est le fruit d'une étude approfondie et d'une planification rigoureuse menée pendant un an par la Direction du Patrimoine de la Régie des Eaux de Montpellier Méditerranée Métropole. Ce travail de préparation a permis d'optimiser les conditions d'exécution et d'assurer la réussite de cette opération essentielle pour la modernisation des infrastructures locales.

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